Le M’PEP assume pleinement sa réalité de PARTI POLITIQUE unique en son genre
le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).
Le 5 mars 2015.
Quoi que l’on pense des partis politiques, ils restent la seule forme à disposition des citoyens pour s’engager dans le débat et le combat politiques, pour la conquête et l’exercice du pouvoir. Ils sont indispensables à la démocratie. Si tel n’était pas le cas, ce seraient les intérêts privés les plus puissants qui auraient le monopole de la politique, sachant que leur poids est déjà considérable dans le champ politique. La critique de principe des partis politiques, du type « tous pourris », outre le fait qu’elle est la marque traditionnelle de l’extrême droite, désarme en réalité le mouvement populaire en le privant du seul instrument lui permettant de concurrencer les classes dominantes. Certes, tous les partis politiques ayant exercé le pouvoir ont déçu, suscitant des appels à « faire de la politique autrement ». Toutefois, de tels slogans n’ont donné aucun résultat tangible et ne sont restés que de pures intentions.
Le vrai parti qu’est le M’PEP vise à organiser un courant d’idées qui existe déjà dans la société. Ce courant forme l’idéologie suivante : lutte contre le capitalisme dans la perspective d’un socialisme du XXIè siècle, rejet de l’Union européenne et de l’euro, sortie des autres piliers de l’ordre néolibéral mondial que sont le FMI, l’OMC, l’OTAN et la Banque mondiale. Réconciliation de la République et de la démocratie, éradication du chômage par le droit opposable à l’emploi et la réindustrialisation de notre pays, démantèlement des marchés financiers, relations internationales solidaires basées sur les principes actualisés de la Charte de La Havane et de la déclaration de Cocoyoc. Aucun parti politique – aucun ! – ne propose une telle stratégie et un tel programme.
Le M’PEP est le chaînon manquant, parti anticapitaliste et démondialisateur, conscient de la nécessité vitale de pleinement restaurer la souveraineté nationale. Il propose un programme construit et cohérent pour réussir en bon ordre l’indispensable démondialisation et la démocratisation de l’Etat. L’idéologie néolibérale postnationale est composée de trois camps (la droite, la social-démocratie et la gauche radicale) et d’un leurre (le FN). Le M’PEP dénonce et combat ces trois camps, comme il dénonce l’illusion et le vrai rôle du FN qu’il combat. Il est l’outil permettant de faire naître une alternative crédible.
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