Plus les RICHES sont riches, MOINS la croissance est forte: c'est le FMI qui le dit
Une étude d'un groupe d'experts du FMI fait couler beaucoup d'encre. L'institution, qui défend une ligne libérale, relève que les inégalités sociales sont un frein à la croissance et augmentent le risque de crises financières.
C'est un réquisitoire inhabituel pour le FMI. Ce lundi, des experts de l'institution ont publié une étude dans laquelle ils fustigent les inégalités économiques, accusées de freiner la croissance économique et d'alimenter les crises financières. S'aventurant sur un terrain qui lui est peu familier, le Fonds monétaire international relève que le fossé entre les riches et les pauvres est à "son plus haut niveau depuis des décennies", spécialement dans les pays riches. Le constat n'est pas très neuf mais les causes identifiées par le FMI peuvent surprendre, venant d'une institution gardienne de l'orthodoxie financière et de la libéralisation de l'économie.
Les bénéfices des plus riches ne retombent pas sur les plus pauvres
Selon cette étude, "l'assouplissement" des règlementations du marché du travail et le déclin syndical auraient ainsi renforcé les inégalités de revenu en limitant les capacités de négociation des salariés.
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Plus les riches sont riches, moins la croissance est forte: c'est le FMI qui le dit
Une étude d'un groupe d'experts du FMI fait couler beacoup d'encre. L'institution, qui défend une ligne libérale, relève que les inégalités sociales sont un frein à la croissance et augmente...