CHILI - L'histoire de la lutte armée communiste contre Pinochet : le FPMR (Front patriotique Manuel Rodriguez)
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Le 11 septembre 1973, un coup d’État militaire renverse le président légitime du Chili, le socialiste Salvador Allende qui, ne voulant pas céder son pouvoir aux putschistes, préfère se suicider dans le palais de la Moneda. Une dictature militaire, dirigée par le général Augusto Pinochet, se met en place et entame une féroce répression contre les forces de gauche. Fort du soutien de l’armée, des classes dirigeantes et des agences de renseignements américaines, elle leur porte des coups sévères. Dès le coup d’État, la presque totalité des militants du MIR, le Mouvement de la gauche révolutionnaire, sont soit arrêtés, soit exécutés.
Le PC chilien est également violemment réprimé. Selon les historiens, lors des premiers mois de la dictature, c’est environ 30 000 personnes qui sont tuées. La victime la plus célèbre reste le chanteur Victor Jara, brutalement assassiné dans le stade de Santiago transformé en camp de concentration. La terreur instaurée par la Junte stupéfie la gauche chilienne qui ne parvient pas à se mobiliser pour organiser la résistance.
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La lutte armée communiste contre Pinochet : le FPMR
Le 11 septembre 1973, un coup d’État militaire renverse le président légitime du Chili, le socialiste Salvador Allende qui, ne voulant pas céder son pouvoir aux putschistes , préfère se suicider dans le palais de la Moneda. Une dictature militaire, dirigée par le général Augusto Pinochet, se met en place et entame une féroce répression contre les forces de gauche. Fort du soutien de l