L’UNION EUROPÉENNE nous coûte t-elle un POGNON DE DINGUE ?

François Asselineau demande au gouvernement un grand débat national sur la contribution nette de la France au budget de l’UE.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE :
François Asselineau demande au gouvernement français de lancer un grand débat national sur la contribution nette de la France au budget de l’Union européenne, qui risque d’exploser dans les prochaines années en raison :
- du Brexit,
- de l’incorporation planifiée de nouveaux États membres,
- et des programmes de dépenses grandioses prévus par Bruxelles pour l’innovation, le changement climatique et la sécurité.
L’Union populaire républicaine (UPR) rappelle que la Grande Bretagne est, en effet, l’un des principaux financeurs de l’Union européenne, avec une contribution nette que le journal Le Monde avait estimée à la bagatelle de 10 milliards d’euros par an, qui seront autant de recettes perdues pour Bruxelles lorsque le Brexit aura enfin été mis en œuvre.
L’UPR rappelle également que l’oligarchie européiste, prise d’une fuite en avant de type soviétoïde, a décidé de faire entrer dans l’Union européenne 6 nouveaux États dont 4 sont déjà officiellement « candidats à l’adhésion » (Serbie, Monténégro, Macédoine du Nord, Albanie) et 2 sont classés parmi les « candidats potentiels » (Bosnie-Herzégovine et Kosovo).
La « mise à niveau » de ces États, dont nombre sont gangrénés par des mafias, représente une charge financière potentiellement considérable pour les États contributeurs nets.
L’Allemagne a déjà pris les devants en se portant à la tête d’un groupe de cinq États – surnommé à Bruxelles les « frugal five » : Allemagne, Autriche, Suède, Danemark et Pays-Bas – qui refusent que la Commission européenne leur fasse les poches en toute liberté pour financer le prochain budget pluriannuel européen 2021-2027.
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