Comment le VICTIMISME tue le sport [Tribune sur le blog de Descartes]

La déferlante des « féministes de genre » – on devrait plutôt dire les « hystériques du genre » – ne semble pas connaître de limites. On a pu voir ce que cela a donné à la soirée des Césars. On apprend que des candidats aux élections sont écartés sur simple accusation de « violences sexuelles » sans qu’il y ait même dépôt de plainte (1). La simple accusation vaut condamnation, car supposer que l’accusé puisse être innocent reviendrait à « mettre en doute la parole des femmes ». Impensable, évidement. Qui pourrait imaginer un instant qu’un témoignage féminin puisse être le résultat de passions aussi humaines que la vengeance, le calcul, l’intérêt, la malveillance… et dont les femmes seraient, on ne sait pas par quel miracle, dépourvues ?
Il y a un domaine où la nouvelle inquisition aura des effets infiniment néfastes : c’est celui du sport. Je ne vous parle pas du sport qu’on regarde à la télé, et qui n’est qu’un spectacle, mais celui que des millions de français – et parmi eux une majorité d’enfants et de jeunes – pratiquent chaque semaine et chaque week-end dans des clubs dispersés dans tout le territoire. C’est cette pratique que la campagne de chasse aux sorcières lancée par la ministre des sports va mettre en danger.
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Comment le victimisme tue le sport
La déferlante des " féministes de genre " - on devrait plutôt dire les " hystériques du genre " - ne semble pas connaître de limites. On a pu voir ce que cela a donné à la soirée des César...
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