FACS ET LABOS EN LUTTE : des dizaines de milliers d’étudiants et travailleurs des facs mobilisés

« On dit stop ! » Des dizaines de milliers d’étudiants et travailleurs des facs mobilisés
Le 5 mars était une journée attendue dans l’enseignement supérieur. Une date de mobilisation contre la LPPR préparée depuis longtemps, autour de laquelle se sont cristallisées d’autres colères : contre la réforme des retraites, le 49.3, la précarité en général.
Les organisateurs de la manifestation annoncent plus de 25 000 participants à Paris. Dans de nombreuses autres villes – Lyon, Toulouse, Lille… – les étudiants et travailleurs de l’université (BIATSS, enseignants et chercheurs) mobilisés étaient plusieurs milliers à exprimer leur colère.
« Le jour où la recherche et l’université s’arrêtent » appelé par la coordination des Facs et Labos en lutte marque le retour dans la bataille d’un secteur particulier, où les contradictions et la colère sont profondes. En première ligne, une fois n’est pas coutume, les enseignants-chercheurs et les chargés de cours précaires. « Moi je suis mobilisé contre la réforme des retraites depuis le 5 décembre, expliquait Nicolas, doctorant en géographie à Marne-la-Vallée, au micro de Révolution Permanente. Mais là on a réussi à créer une mobilisation assez sérieuse dans notre fac, notamment parce que la LPPR qui nous tombe dessus a enfin fait bouger l’enseignement supérieur ».
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" On dit stop ! " Des dizaines de milliers d'étudiants et travailleurs des facs mobilisés
Le 5 mars était une journée attendue dans l'enseignement supérieur. Une date de mobilisation contre la LPPR préparée depuis longtemps, autour de laquelle se sont cristallisées d'autres colèr...