PRIVATISATION et VENTE de la FRANCE À LA DÉCOUPE : le MOBILIER NATIONAL maintenant

Par Régis de Castelnau
Qu’est-ce que c’est encore que cette histoire ? Lorsque l’on s’informe sur les raisons du numéro de Paris-Match orné de la photo/provocation de Brigitte Macron annonçant « qu’elle s’engage pour les hôpitaux », on apprend la chose suivante :
« Lutte contre le Coronavirus : la France va vendre du mobilier national contre le Covid 19. Une vente aux enchères de meubles issus des collections publiques aura lieu en septembre au profit de la fondation hôpitaux de France présidée par Brigitte Macron. »
Pardon ?
Décodage :
- « La France » ? Qui donc ? Quelle autorité publique a pris cette décision ?
- Le mobilier national appartient à l’État, et par conséquent à la Nation. Il est inaliénable. Si l’on souhaite le vendre il faut auparavant le déclasser. Qui va le faire et pour quelle raison ?
-Le produit de la vente sont des fonds publics et l’on se demande bien pourquoi les sommes obtenues en seraient attribuées à un organisme privé ce qu’est la fondation « hôpitaux de France ». Pourquoi et à quel titre ? Sur quelles bases juridiques ?
-Comment est-il possible que Madame Macron qui bien qu’elle n’ait aucune fonction officielle publique soit manifestement intervenue par l’intermédiaire de son mari pour prendre la décision de vendre à l’encan des biens d’État. Et puisse recueillir ensuite le produit de cette vente en tant que personne privée présidente d’un organisme de droit privé ?
Au-delà de l’aspect moral profondément déplaisant de cette opération de communication, celle-ci sent le droit pénal à 100 km.
Explication :
- tout d’abord, pour se mettre en avant et jouer les humanitaires soucieuses des intérêts de la Nation et après que son époux ait détruit le système hospitalier français, Madame Macron joue les bons samaritains. Mais elle se garde bien de solliciter ses amis milliardaires oligarques, vous savez, ceux qui nous avaient annoncé le versement de sommes ronflantes au moment de l’incendie de Notre-Dame, sommes que pour certaines on attend toujours. Non non elle tape dans la caisse publique, c’est plus facile. A priori Bernadette Chirac ne s’est jamais autorisée cette facilité au profit de la fondation quand elle la présidait.
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Privatisation et vente de la France à la découpe : le Mobilier National maintenant. - Vu du Droit
Qu'est-ce que c'est encore que cette histoire ? Lorsque l'on s'informe sur les raisons du numéro de Paris-Match orné de la photo/provocation de Brigitte Macron annonçant " qu'elle s'engage pour les