Après l'échec en Biélorussie, une RÉVOLUTION DE COULEUR programmée au KIRGHIZISTAN
Une révolution de couleur, mode d’emploi, après la Biélorussie, la Kirghizie
Dans la situation d’incertitude, voire de chaos dans laquelle s’enfoncent les Etats-Unis, avec y compris la maladie du président, et les incertitudes sur l’issue d’une campagne électorale chaotique peut-être y a-t-il de l’insensibilité à ne parler des Etats-Unis que pour montrer ce dont ils sont capables, si ce n’est que la presse américaine s’acharne sur le président d’une manière qui montre où en est cette société. Si ce n’est surtout que Mike Pompeo, dont les ambitions présidentielles sont évidentes, continue à agir pour tenter de créer en Europe et en Asie une digue anti-chinoise en bloquant partout les contacts commerciaux et culturels avec la Chine, et de même partout sans relâche les Etats-Unis, directement ou indirectement provoquent des révolutions de couleur sous couvert de donner des leçons de démocratie qui se terminent sur des guerres civiles et des drames.
Une «révolution de couleur» fait référence à un type spécifique d’attaque coordonnée que le gouvernement des États-Unis est connu pour déployer contre des régimes étrangers, notamment en Europe de l’Est jugés «autoritaires» et hostiles aux intérêts américains. Plutôt que d’utiliser une intervention militaire directe pour effectuer un changement de régime comme en Irak, les révolutions de couleur attaquent un régime étranger en contestant sa légitimité électorale, en organisant des manifestations de masse et des actes de désobéissance civile et en tirant parti des contacts médiatiques pour assurer une couverture favorable à leur programme dans la presse occidentale.
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