CONFINEMENT : Répression et absurdité
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Eure-et-Loir. Des habitants verbalisés en allant faire leurs courses au supermarché le plus proche
En Eure-et-Loir, il vaut mieux aller faire ses courses à 40 minutes qu’à 10, quand la police verbalise selon ses propres règles. Les paradoxes d’un confinement répressif.
Des achats de premières nécessités respectant leur confinement
Cette semaine, ce sont les habitants d’Eure et Loire qui ont subi la politique incohérente du gouvernement quant au confinement. En effet, comme le rapporte un article du Parisien, plusieurs d’entre eux ont été verbalisés en allant faire leurs courses. Pour cause, le supermarché le plus proche se trouve dans une région différente de la leur.
Outre le fait que rien n’interdit un tel déplacement relatif à des achats de première nécessité, sans limite de 100 km ou de régions ; les résidents de Gommerville, Baudreville et Mérouville se sont vu contrôlés puis sanctionnés pour s’être rendus à Angerville. Les policiers postés à la frontière entre le Val-de-Loire et l’Ile-de-France ont donc une fois de plus sorti l’attirail répressif, en dehors même du cadre de la loi. En effet, le décret du 29 octobre 2020 n’a pas réitéré la limite des 100 km comme lors du premier confinement.
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Il reste SAGEMENT CONFINÉ chez lui mais reçoit une amende de 300 euros
Alors que certains métiers sont déjà durement frappés par la crise sanitaire, un habitant d’Orléans travaillant dans la restauration et resté sans activité a été victime du confinement sur un autre chapitre : il s’est vu infliger une amende de 300 euros pour avoir laissé sa voiture garée à la même place pendant plus de sept jours.
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