«NOUS N’AVONS PAS VOTÉ POUR ÇA» : 33 personnalités, qui ont voté pour lui en 2017, interpellent MACRON dans une tribune
/image%2F1449569%2F20201124%2Fob_dcf9db_liberte-eluard.jpg)
De nombreuses personnalités, philosophes, avocats, médecins, écrivains, historiens etc, publient une tribune afin d'exhorter Emmanuel Macron à mettre fin à la «course à l’abîme» menée à travers des «lois liberticides».
C'est un désaveu pour Emmanuel Macron. Dans une tribune publiée sur un blog de Mediapart le 22 novembre, 33 personnalités, dont l’avocat Jean-Pierre Mignard, le député de l'Essonne Cédric Villani (anciennement LREM), ou l'ancien sportif et directeur associatif Lilian Thuram, mais aussi des philosophes, médecins, écrivains, ou historiens, interpellent le Président de la République quant à la politique menée par celui-ci : «Le gouvernement et la majorité qui agissent en votre nom sont en train de restreindre nos libertés fondamentales.» La correspondance s'ouvre dans un message de déception à l'égard du chef de l'Etat. «En 2017, nous avons voté pour vous. C’est au nom de ces votes que nous vous interpellons», déclarent les 33 personnalités. Toutes ont souhaité exprimer leur inquiétude face aux atteintes à portées à «la libre expression des critiques, protestations et oppositions».
LIRE LA SUITE
/image%2F1449569%2F20201124%2Fob_45cc9d_mediapart-blog-logo.jpg)
APPEL
Monsieur le Président, nous n’avons pas voté pour ça
Dans un appel confié à Mediapart, trente-trois personnalités de la société civile ayant voté pour Emmanuel Macron en 2017 lui demandent le retrait de projets de lois qui font «reculer les libertés d’information, d’opinion, de croyance, d’éducation, d’association, de manifestation et de contestation».
L'APPEL EN LIEN CI-DESSOUS :
/image%2F1449569%2F20201124%2Fob_073016_frise.jpg)
/image%2F1449569%2F20201124%2Fob_a47e22_liberte-presse.jpg)
LIBERTÉ DE LA PRESSE : inquiets, les éditeurs de presse en appellent au Premier ministre
Les grandes organisations de presse ont alerté Jean Castex sur la multiplication d'actions législatives contribuant selon elles à sanctionner les médias dans leur libre exercice. Elles dénoncent « de bien mauvais signaux ».
LIRE LA SUITE :