A la fin, c’est encore L’ALLEMAGNE qui gagne…
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Par Joël Perichaud, Secrétaire du Parti de la démondialisation chargé des relations internationales
Le 16 décembre 2020
Souvenez-vous. France. 30 septembre 2015. Les députés et les sénateurs français donnaient leur feu vert à la résiliation du contrat russe de navires de classe Mistral (Vladivostok et Sébastopol), signé en 2011, en raison de la « crise » ukrainienne et surtout des pressions de l’UE et des USA…
Cette rupture de contrat fut annoncée par un duo de ridicules fiers-à-bras : le président François Hollande et le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
Puis, après avoir été débaptisées, les navires soustraits au « dictateur » Poutine furent revendus au « démocrate » égyptien Al Sissi. Un désastre pour l’image de la France et pour ses finances.
Le montant de la vente à l’Egypte pour 950 millions d'euros environ, annoncée par Le Drian correspondait, d’après lui, à la somme restituée à la Russie à titre de compensation (893 millions, auxquels s’ajoutaient près de 57 millions pour la formation des marins que Le Drian avait accepté de rembourser. Menteur bravache, François Hollande déclarait qu'il n'y avait pas de "perte" d'argent. Pourtant la décote par rapport au contrat de 2011 (1,2 milliard d'euros) dépassait 20% car la facture totale dépendait de frais annexes comme le démontage des équipements russes rétrocédés, le gardiennage à Saint-Nazaire (1 million d'euros par mois par bateau) et le maintien en condition opérationnelle des navires.
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