Quand « Le Monde » cherche à percer le mystère des ORIGINES du COVID…
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Une traque bidonnée de l’im-Monde
Les Carnets de Badia Benjelloun
Depuis le début de l’épidémie due au SARS-Cov2, le monde scientifique se penche sur l’origine du virus pendant que se diffuse dans l’opinion la possibilité que le virus résulte d’une intervention humaine, délibérée ou accidentelle.
Cette pandémie toujours évolutive non (encore) contrôlée plus d’un an après son apparition oblige la plupart des gouvernements à imposer des mesures sociales afin de réduire la circulation virale. Port de masque en public, distanciation physique, couvre-feux et confinements, en l’absence de traitements efficaces quel que soit le stade de la maladie et d’une couverture vaccinale protectrice permettent de ralentir la progression du virus, d’étaler dans le temps les contaminations et ainsi d’éviter une surcharge des structures sanitaires, fort anémiées par les purges astringentes des austérités budgétaires. Ce dispositif non médical contraignant, tout à fait inhabituel, a des conséquences à la fois économiques et socio-psychologiques importantes.
Une récession de près de 10% affecte les PIB de la plupart des pays. Les règles qui entravent les déplacements et les réunions instituent des changements de mode de vie pénibles. Elles majorent la suspicion à l’égard des gouvernements qui multiplient depuis plus d’une décennie des lois liberticides dans un contexte de marasme économique mondial bien antérieur à l’actuelle crise sanitaire et que l’on peut faire remonter à l’effondrement boursier de 2008.
Cette atmosphère est propice à l’émergence de théories qui attribuent au génie de l’homme la création de ce virus et de sa propagation. Les réfuter peut s’avérer difficile d’autant que les scientifiques se sont discrédités par une pratique de fraudes assez répandue dans leurs publications connues du public et qu‘à l’ère du post-modernisme, on n’attend plus de la science qu’elle délivre de vérités ultimes quand toutes les opinions sont réputées s’équivaloir. De plus, le recul du financement public dans la recherche oblige les équipes à trouver des ressources auprès de firmes privées qui peuvent orienter les résultats mais aussi la nature des travaux selon leurs intérêts.
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