Un an de gestion délirante et cynique de la pandémie dans L'ÉDUCATION NATIONALE : Blanquer doit partir !
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Communiqué de la Commission Éducation
du PRCF
L’épidémie de Covid-19 est galopante dans le pays et dans les établissements scolaires. Les contre-vérités, les contorsions, les manipulations, les menaces du ministre Blanquer ne suffisent plus, même avec le soutien des grands propagandistes médiatiques à masquer l’état catastrophique de la situation sanitaire dans les établissements scolaires.
Il y a 12 millions d’élèves et presqu’autant de familles ainsi que 800 000 enseignants. La bataille pour la Santé des Français ne pourra pas être gagnée avec un ministre dont la stratégie sanitaire est l’ignoble immunité de troupeau en se servant des écoles, collèges et lycées pour faire circuler le virus parmi des populations censées être moins à risque. Ainsi, dès mars 2020, le sinistre Blanquer déclarait avec le cynisme qui le caractérise :
« On considère, et là je ne fais que répéter ce que disent les scientifiques, que 50 à 70% de la population in fine finit par être contaminée par le virus, et c’est d’ailleurs ça qui met fin au virus puisque ça crée une forme d’immunité majoritaire, et donc le virus s’éteint de lui-même. »
Jean Michel Blanquer cité par Europe 1
Dès l’an dernier, les enquêtes sérologiques menées dans le premier lieu connu de diffusion du virus en métropole, le lycée Jean Monnet de Crépy-en-Valois avait montré un sur-risque de contamination de l’ordre de 30 % pour les familles de lycéens. Un an de recherche scientifique aura confirmé ce risque important qui ne peut être dénié puisqu’il concerne l’ensemble de la population française. Dès le début de la épidémie à l’hiver 2020, Blanquer et ses affidés ont activé tous leurs relais médiatiques et hiérarchiques pour inonder l’espace médiatique et éducatif de contre-vérités et de désinformations : « le virus ne circule pas à l’école », « les enfants ne sont pas contagieux », « les enseignants ne sont pas contaminés »… Pire, n’écoutant que son fanatisme idéologique ce ministre extrémiste n’a absolument rien fait, en dehors de quelques mesurettes servant sa communication et nuisant au fonctionnement pédagogique (une salle-une classe en collège par exemple, les campagnes de tests mises en scène et sabotées, les multiples protocoles bidons…), pour éviter que les établissements scolaires devenus foyers actifs de contamination ne se voient de façon de plus en plus inéluctable contraints à la fermeture en catastrophe, comme cela avait déjà été le cas en mars 2020.
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