Les NOUVELLES RÉVÉLATIONS du COUP D’ÉTAT “SOFT” contre CUBA
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Voici un rapport qui décrypte ce qui s’est passé à Cuba, avant le 11 juillet et qui annonce le fait que l’affaire ne va pas s’arrêter là. Les forces mobilisées à Cuba, mais aussi à l’extérieur (presse, réseaux sociaux) ont dû se replier face à la réaction du peuple cubain. Mais tout est encore en place prêt à être réactivé et Biden a choisi les éléments ultra de Miami dans son attitude à l’égard de Cuba mais aussi de l’Amérique latine et du reste du monde. Il ne nous reste plus à observer qui a fait quoi durant cette “crise”, ce coup d’Etat “soft”. [note et traduction de Danielle Bleitrach]
INTÉRÊTS ET GÉOPOLITIQUE DE L’ESEQUIBO
Bien que leurs antécédents remontent à 2018, dans la première partie de cette année, les manœuvres de déstabilisation à Cuba impliquaient le mouvement dit San Isidro (MSI), ses alliances avec des structures anticastristes de la fin du XXe siècle (l’Union patriotique de Cuba) et un mouvement qui, déjà dans les rues, suggérait un certain degré de maturation pour de nouvelles actions dans le cadre flou de la formule de base de la guerre hybride (guerre non conventionnelle + révolution de couleur). Les événements qui vont du dimanche 11 juillet au 13 juillet semblent l’indiquer, et marquer un point culminant dans le déploiement de dispositifs classiques d’intervention indirecte par le biais des réseaux sociaux, du contrôle de ce qu’en relatent les grands médias et des troubles programmés sous l’alibi typique de la « société civile ».
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