Mais où est passé le POGNON de dingue que MACRON aurait palpé chez ROTHSCHILD ?
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Par Mathias Thépot
Le documentaire « Off investigation » remet sur le devant de la scène le mystère qui entoure la potentielle méga commission jamais déclarée par Emmanuel Macron lorsqu’il était banquier d’affaires chez Rothschild. Faut-il prendre cette enquête au sérieux ?
C’est l’un des mystères les mieux gardés de la République : mais où a donc bien pu passer la commission stratosphérique qu’Emmanuel Macron aurait normalement perçue en tant qu’associé gérant de la banque d’affaires Rothschild, lorsqu’il a conseillé le rachat par Nestlé de la filiale de lait infantile de Pfizer ? Un méga deal à 12 milliards de dollars signé en avril 2012 où l’influence du jeune Macron fut décisive pour convaincre la direction de Nestlé de payer le prix fort pour la filiale de son concurrent américain. Ce fait d’armes a gravé dans le marbre son fameux surnom de « Mozart de la finance », quelques semaines avant qu'il devienne le secrétaire général adjoint de François Hollande à l’Élysée.
Le problème, c’est que deux ans plus tard lorsqu’il est entré au gouvernement en tant que ministre de l’Économie, Emmanuel Macron a dévoilé dans sa déclaration d'intérêts à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, des revenus imposables en 2012 de 720 521 euros au titre des opérations réalisées avec Rothschild, dont Nestlé-Pfizer qu’on peut considérer comme la seule à laquelle il a participé en quatre mois et demi de présence dans la banque cette année-là.
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