UKRAINE : ANDREÏ BILETSKY, LE PÈRE NÉONAZI D’AZOV
Les héros suprêmes de l’Occident ce sont depuis quelques semaines les soldats pour la plupart néonazis du régiment Azov. Ces héros qui sentent le souffre et la croix gammée, les journalistes occidentaux ne veulent pas en entendre parler, il n’y a que d’héroïques combattants de l’Ukraine libre et démocrate, un pays fabuleux où il faisait bon vivre avant l’opération spéciale russe. Pour contrer cette basse propagande diffusée par tous les médias publics français, ou même privés, il faut bien comprendre qui sont les hommes qui se cachent derrière ce régiment Azov et en premier lieu, leur fondateur, dont la seule histoire parle d’elle-même. La vérité de toute façon se fera jour, tôt ou tard et toutes les tentatives pour cacher les milliers de volontaires néonazis ukrainiens, sont vouées à l’échec. Il en fut de même avec les fameuses armes biologiques que l’Irak était censé posséder, et ce mensonge fut même tenté contre la Syrie quelques années plus tard. Aujourd’hui, les journalistes français et européens brossent un tableau de rêve de cette unité emblématique, qui rappelons-le, n’était qu’une des nombreuses de ce genre, les tristement célèbres bataillons de représailles, qui s’illustrèrent horriblement dans l’Est de l’Ukraine et dans le Donbass, à partir de 2014. Alors qui est Andreï Biletsky, le fondateur d’Azov ?
Des milices néonazies et ratonnades, à l’épuration racialiste des populations. Né en 1979 dans une famille lambda, Biletsky avait suivi un parcours universitaire comme étudiant en histoire. Il avait particulièrement travaillé sur une thèse consacrée à l’armée ukrainienne de collaboration avec l’Allemagne nazie, l’UPA, arborant le drapeau noir et rouge et le trident ultranationaliste. Rappelons qu’elle se signala par les massacres abominables de l’été 1944, en Volhynie (entre 80 et 200 000 Polonais massacrés).