CSI-CES ; « SYNDICATS » VÉREUX AU SERVICE DES CAPITALISTES
CSI-CES ; « syndicats » véreux au service des monopoles capitalistes et des gouvernements
Les luttes des travailleurs n’ont rien à voir avec la crasse de la CSI-CES, tout comme ces organisations n’ont rien à voir avec la classe ouvrière.
La récente arrestation du secrétaire général de la CSI, la Confédération syndicale internationale, et, quelques temps auparavant, secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), a mis en lumière les multiples interférences des monopoles et des impérialistes pour contrôler le mouvement syndical.
[Il faut relever que] la CSI-CES ne peut être décrite comme une organisation syndicale, car ses objectifs, son fonctionnement, son activité et même le salaire de ses dirigeants n’ont rien à voir avec la vie et les intérêts de la classe ouvrière. Ce sont des mécanismes au service des organisations impérialistes et des monopoles qui ont une longue et sombre histoire de pourriture et de corruption. À tel point qu’elle fait passer le « QatarGate » pour un délit mineur. Il est clair que quelques jours après l’arrestation de leur secrétaire général, la CSI-CES s’est contentée de dire “PAS DE COMMENTAIRE”.
Ceci au moment où les dirigeants des syndicats de classe du monde entier, les cadres de la FSM en Colombie, en Equateur, en Palestine, en Turquie, en France, en Italie, en Grèce, au Sri Lanka, et partout dans le monde sont persécutés pour leurs luttes et leur action en faveur de la classe ouvrière.
Les tentatives de corruption et de prise de contrôle ont toujours existé. A l’image des menaces, du chantage, de la diffamation, des attaques, des licenciements contre les syndicalistes militants. Mais il y a ici une différence qualitative dans la mesure où ces organisations sont elles-mêmes un mécanisme de vénalité et de corruption.
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