LA GUERRE EST UNE CHOSE TROP SÉRIEUSE POUR LA CONFIER À EMMANUEL MACRON – Par Régis de Castelnau
Emmanuel Macron a donc décidé de prendre la tête d’une croisade contre la Russie. Il est difficile de bien identifier la motivation principale. La première qui vient à l’esprit est bien évidemment le narcissisme puéril qui habite ce personnage, et dont on a mesuré le caractère vertigineux dès les premiers jours de son avènement à la suite d’un coup d’état judiciaire. Mais probablement aussi un calcul politicien pour évacuer l’impact de la catastrophe médiatique de sa pantalonnade au salon de l’agriculture. Voire, sachant qu’il les exécute immédiatement, un ordre venu de Washington de prendre le relais en Ukraine d’une Amérique qui semble vouloir se consacrer à autre chose. Peut-être un mélange de tout cela, mais ce qui est sûr c’est que Macron, fidèle à lui-même et armé de ses différentes incompétences, fait une nouvelle démonstration de son irresponsabilité, et de son incapacité à diriger la France de façon rationnelle.
Il a donc dit à ses interlocuteurs, avant de le faire confirmer officiellement, « que vis-à-vis de la Russie, la France ne s’interdisait aucune ligne rouge ». Sachant que notre pays est une puissance nucléaire, c’est donc un avertissement donné à la Russie. Que si nous envoyons nos 15 000 hommes disponibles, dotés d’environ huit jours de munitions, occuper une trentaine de kilomètres d’un front qui en fait 1200, et que ça se passe mal, gare. Parce que nous aussi, nous pouvons vitrifier les moujiks.
À une panoplie de défauts particulièrement fournie, Emmanuel Macron ajoute semble-t-il une incapacité à évaluer les ordres de grandeur et à comprendre des choses simples comme la règle de trois.
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La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier à Emmanuel Macron - Vu du Droit
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