Appel au mois international d’actions pour la libération de Georges ABDALLAH
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Communiqué :
CONTINUONS LE COMBAT !
LIBÉRONS GEORGES ABDALLAH !
APPEL AU MOIS INTERNATIONAL D’ACTIONS
POUR LA LIBÉRATION DE GEORGES ABDALLAH
21 septembre – 21 octobre 2023
L’État français ne connaît qu’un seul langage, celui de la guerre de classe menée contre les luttes sociales, politiques et populaires. Le président de la République l’avait clamé : « Nous sommes en guerre ! ». En guerre contre la pandémie, mais aussi en guerre avec sa police et sa gendarmerie contre le mouvement social, en guerre avec son armée de l’Afrique à l’Ukraine. Et son État, Macron le défend en usant de toute sa violence – policière, militaire, judiciaire, carcérale, médiatique.
L’histoire des combats du passé et de nos luttes actuelles nous le rappelle et nous le démontre : « Le capitalisme n’est plus que barbarie ! ». C’est pourquoi, on a raison de résister, de se révolter pour imposer un autre possible en construisant un puissant rapport de force.
C’est ce rapport de force que Georges Abdallah a contribué à construire durant toute sa vie de combat. Dès les premiers temps de son engagement militant, en soutien à l’héroïque résistance palestinienne et pour l’indépendance de son pays, le Liban, il s’est opposé les armes à la main aux intérêts des impérialistes au Moyen-Orient, aux agressions de leur bras organique, de leur « base opérationnelle », l’entité sioniste.
Ce rapport de force, il a continué à agir pour le créer en décidant dès 1980 avec les combattants des FARL de « frapper l’ennemi partout où il se trouve ». C’est pour ses actions armées accomplies en France que la justice l’a condamné en 1987 à la prison à vie. Mais Georges Abdallah a transformé le procès que lui faisait l’État français en tribune révolutionnaire ; il a revendiqué la légitimité des actes de résistance et il a dénoncé la barbarie de l’impérialisme face aux peuples opprimés, évoquant ce « gouffre qui sépare votre monde légal de notre monde réel (…) cette paix instaurée par votre système, maintenue par l’anéantissement de millions d’hommes dans nos régions des périphéries ».
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