Rappel de mai 2017 : analyse à chaud de la défaite de MÉLENCHON : trop de BOBOS, pas assez de PROLOS ?
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Ceci, c'était avant les Gilets Jaunes. Ces observations tendent à expliquer qu'ils ne se sentent guère représentés par la FI, malgré tous ses efforts de communication, et ses récentes évolutions qui ont vu le départ des représentants de l'aile dite « populiste », notamment ceux de Djordje Kuzmanovic et François Cocq, n'ont pas aidé.
Certains lecteurs « insoumis » s'indignèrent de l'usage du terme "bobo" qu'ils comprirent comme une stigmatisation à leur égard ... tout en protestant qu'ils n'étaient absolument pas des bobos ! Je reconnais que le terme n'est pas du tout précis, et qu'il n'a été choisi que pour la rime avec "prolo". Mais si j'avais titré : « trop de représentants des classes moyennes et trop peu de représentants des classes populaires », mon petit doigt me dit que l'article aurait eu bien moins d'impact !
D'autres qui réagissaient sans lire continuaient à croire que « Réveil Communiste » exprimait la ligne du PCF. Que neni, que neni ...
Gilles Questiaux
Le 1er juillet 2019
Cette analyse publiée le lendemain des présidentielles est toujours d'actualité, à relire à la suite du commentaire suivant ajouté le 4 mars 2018.
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Ceci, c'était avant les Gilets Jaunes. Ces observations tendent à expliquer qu'ils ne se sentent guère représentés par la FI, malgré tous ses efforts de communication, et ses récentes évolutions qui ont vu le départ des représentants de l'aile dite "populiste", notamment ceux de Djordje Kuzmanovic et François Cocq, n'ont pas aidé. Certains lecteurs "insoumis" s'indignèrent de l'usage