Djordje Kuzmanovic lance « RÉPUBLIQUE SOUVERAINE »


L'ex-Insoumis Djordje Kuzmanovic lance son mouvement : « Il faut une opposition à la macronie »
Le souverainiste Djordje Kuzmanovic, qui a quitté La France insoumise fin novembre, lance samedi [23 mars 2019] son mouvement, « République souveraine ».
Quatre mois après son départ de La France insoumise (LFI), Djordje Kuzmanovic lance son propre mouvement, "République souveraine". L'ancien porte-parole de Jean-Luc Mélenchon pour les questions internationales en dévoilera les contours lors d'une conférence de presse suivie d'une réunion publique, samedi en fin d'après-midi à Paris. L'ancien officier de réserve de l'armée, qui indique que le processus d'adhésion au mouvement n'a pas encore été ouvert, table sur 400 adhérents à court terme et s'est fixé l'objectif d'en réunir 5.000 dans les six mois qui viennent.
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Entretien du 25/03/2019 avec Djordje Kuzmanovic, président de "République souveraine". L'ancien orateur national de La France insoumise (LFI), Djordje Kuzmanovic, était ce 25 mars invité sur le plateau de RT France. Il a notamment évoqué l’acte 18 des Gilets jaunes et le lancement de son mouvement politique, République souveraine.

Ancien orateur national de la France insoumise, Djordje Kuzmanovic lance, avec un collectif de citoyens, ce samedi 23 mars un mouvement : République souveraine. Il nous expose son contenu politique.
La France connaît une situation de crise profonde : sociale, économique, politique, morale et existentielle. La désindustrialisation et le chômage rongent le pays, et le travail – considéré aujourd’hui comme une chance – ne permet plus à de nombreux salariés, artisans et agriculteurs de vivre dignement.
La France n’est plus libre de choisir sa politique économique et sociale, désormais subordonnée aux diktats de la Commission européenne et aux traités de libre-échange.
Cette situation est la conséquence des choix des gouvernements de droite comme de gauche qui, depuis trente-six ans, nous imposent les mêmes politiques néolibérales : austérité, destruction des services publics, faveur donnée aux intérêts financiers au détriment de ceux qui travaillent, aux grands au détriment des petits. […]
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