Julian ASSANGE présente des symptômes de « TORTURE PSYCHOLOGIQUE », selon un rapporteur de l'ONU

Ce spécialiste des droits de l'homme et enquêteur de l'ONU a rencontré le cofondateur de WikiLeaks le 9 mai dernier dans la prison de haute sécurité où il est incarcéré depuis son arrestation, le 11 avril après avoir passé sept ans dans les locaux de l'ambassade d'Equateur en Grande-Bretagne.
Julian Assange présente "tous les symptômes [de] torture psychologique" à laquelle il a été exposé "pendant plusieurs années". C'est qu'affirme, vendredi 31 mai, le rapporteur de l'ONU sur la torture, qui a pu le rencontrer en prison avec des médecins. "La persécution collective de Julian Assange doit finir maintenant !", exige dans un communiqué Nils Melzer, expert indépendant de l'ONU et professeur de droit international.
Depuis la diffusion de documents confidentiels sur les forces américaines par WikiLeaks en 2010, "il y a eu une campagne implacable et sans retenue d'intimidation et de diffamation contre M. Assange, non seulement aux Etats-Unis, mais aussi au Royaume-Uni, en Suède et, plus récemment, en Equateur." Ce rapporteur de l'ONU, qui parle en son nom, a rendu visite le 9 mai au fondateur australien de WikiLeaks accompagné de deux experts médicaux spécialisés dans l'examen des victimes de torture, environ un mois après son arrestation par la police britannique à l'ambassade d'Equateur.
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WikiJustice Julian Assange
Déclaration
Ce comité a été créé dans l’urgence, à l’initiative de journalistes, de juristes et de citoyens soucieux de préserver le droit de la liberté d’information et d’expression, pour défendre et porter secours au Journaliste-éditeur australien Julian Assange dont les droits fondamentaux ont été violés par la Suède, l’Equateur, le Royaume-Uni et les États-Unis.
Julian Assange n’est coupable d’aucun crime. Aucune charge n’est retenue contre lui. Julian Assange est un prisonnier politique.
Julian Assange a fondé Wikileaks en 2006, un organe de presse qui prône la transparence dans la gestion des affaires des états et une liberté totale de l’information. Il est resté rédacteur en chef de Wikileaks jusqu’en 2018, date à laquelle le gouvernement équatorien de Lenin Moreno l’a coupé de tout contact avec l’extérieur et placé à l’isolement. Wikileaks et Julian Assange ont révélé des crimes de guerre commis par l’armée américaine en Afghanistan, le financement de DAECH par la fondation Clinton, les tortures pratiquées à Guantanamo ainsi que l’espionnage, par la CIA, du gouvernement Hollande qui lui refusera tout de même l’asile politique après seulement 50 minutes de réflexion.
100% des informations publiées par Wikileaks sont incontestables et incontestées.
La Suède, l’Équateur, le Royaume Uni et les USA persécutent Julian Assange pour avoir porté à la connaissance du grand public un crime de guerre commis par l’armée américaine en Irak (Collateral murder), crime qui lui a été révélé par la militaire lanceuse d’alerte Chelsea Manning, elle-même persécutée, emprisonnée, torturée abusivement, à maintes reprises, par le gouvernement des États-Unis.
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