UKRAINE : Comment Zelensky a fait la paix avec les paramilitaires néonazis
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Quand Vladimir Poutine a justifié l’invasion de l’Ukraine en parlant de « dénazification », ses propos ont été tournés en ridicule par les dirigeants et les médias occidentaux. C’était forcément les élucubrations d’un fou, d’un dictateur paranoïaque. Pourtant, au-delà de la rhétorique adoptée par Moscou, force est de constater que les propos du président russe reposent en partie sur une base objective. Dans cette enquête particulièrement documentée, Alexander Rubinstein et Max Blumenthal de Grayzone rapportent comment le président Volodymyr Zelensky, élu sur un programme d’apaisement avec la Russie, a fini par céder pour collaborer activement avec les groupes fascistes bien présents en Ukraine et responsables d’atrocités.
Alors que les médias occidentaux font valoir l’origine juive de Volodymyr Zelensky pour réfuter les accusations d’influence nazie en Ukraine, le président a cédé aux forces néo-nazies et dépend désormais d’elles comme combattants de première ligne.
En octobre 2019, alors que la guerre dans l’est de l’Ukraine s’éternisait, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est rendu à Zolote, une ville située fermement dans la « zone grise » du Donbas, où plus de 14 000 personnes avaient été tuées, principalement du côté pro-russe. Là, le président a rencontré les vétérans endurcis des unités paramilitaires d’extrême droite qui poursuivent le combat contre les séparatistes à quelques kilomètres de là.
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