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Le blog Commun Commune est un blog indépendant des partis politiques et des syndicats - Sa ligne éditoriale est humaniste, progressiste et franchement euro-critique.  Il a vocation à nourrir le débat, y compris sur des sujets qui peuvent faire polémique, dans un esprit ouvert, hors tout sectarisme et tabous. Dans ce cadre, défenseur de la liberté d'expression, il donne à connaître des points de vue divers - hors tous propos racistes et/ou antisémites - y compris ceux qu'il ne partage pas forcément.

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Les vérités qu’on aime le moins à apprendre sont celles que l’on a le plus d’intérêt à savoir.

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Ça devient difficile d'être de gauche, surtout si l'on est pas de droite

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« Si tu trembles d'indignation à chaque injustice, alors tu es un de mes camarades. »

Ernesto Che Guevara

 

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DÉCLARATION de l’ACADÉMIE FRANÇAISE

sur l'ÉCRITURE

dite « INCLUSIVE »

adoptée à l’unanimité de ses membres dans la séance du jeudi 26 octobre 2017

Prenant acte de la diffusion d’une « écriture inclusive » qui prétend s’imposer comme norme, l’Académie française élève à l’unanimité une solennelle mise en garde. La multiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité. On voit mal quel est l’objectif poursuivi et comment il pourrait surmonter les obstacles pratiques d’écriture, de lecture – visuelle ou à voix haute – et de prononciation. Cela alourdirait la tâche des pédagogues. Cela compliquerait plus encore celle des lecteurs.

Plus que toute autre institution, l’Académie française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue, puisqu’elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c’est moins en gardienne de la norme qu’en garante de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme : devant cette aberration « inclusive », la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd’hui comptable devant les générations futures.

Il est déjà difficile d’acquérir une langue, qu’en sera-t-il si l’usage y ajoute des formes secondes et altérées ? Comment les générations à venir pourront-elles grandir en intimité avec notre patrimoine écrit ? Quant aux promesses de la francophonie, elles seront anéanties si la langue française s’empêche elle-même par ce redoublement de complexité, au bénéfice d’autres langues qui en tireront profit pour prévaloir sur la planète.

 

 

Archives

 

Publié par diablo

Quand le Dalaï Lama était au pouvoir, 95% des Tibétains pouvaient être vendus comme des marchandises

 

Lorsque le Dalaï Lama et la classe des propriétaires étaient au pouvoir au Tibet, 95% de la population étaient des serfs féodaux, sans aucun droit humain. Ils pouvaient être vendus comme des marchandises. Ils étaient fréquemment insultés et battus ou devaient même affronter des châtiments d’une rare violence : par exemple, on leur arrachait les yeux, on leur coupait la langue ou les oreilles, les mains ou les pieds, on leur arrachait les tendons, à moins qu’on ne les noyât ou qu’on ne les projetât dans le vide depuis le sommet d’une falaise. Il était interdit de sortir de sa classe.

 
                                                                
 
Titre original : La « démocratie », la parure trompeuse du dalaï-lama

Afin de conférer au 14ème dalaï-lama une apparence de respectabilité, sa clique le présente, lui, l’ancienne figure de proue principale du servage féodal à structure sociopolitique théocratique, comme un « représentant de la démocratie » et elle prétend que « la démocratie a de tous temps été son idéal » et qu’il « fait la promotion de la démocratie parmi les Tibétains en exil ».
Tout le monde sait que la société humaine passe par trois stades d’évolution : la théocratie, la monarchie et les droits civiques. Il est tout simplement ridicule, sinon bizarre, de décrire le dalaï-lama, ce symbole vivant de la théocratie, sous les traits d’un « combattant pour la démocratie ».
Que s’est-il réellement passé au Tibet, avant 1959, lorsqu’il était dirigé par ce dalaï-lama qui prétend que la démocratie est son idéal ? Avant 1959, les terres et les habitants du Tibet n’étaient autres que les fiefs des institutions des gouvernements, monastères et nobles tibétains locaux, c’est-à-dire les trois principales catégories de propriétaires qui soutenaient le servage féodal tibétain. Constituant moins de 5 pour cent de la population totale du Tibet, ces trois principales catégories de propriétaires possédaient la quasi-totalité des terres arables, des prairies, des forêts, des montagnes, des cours d’eau et du bétail. Elles étaient non seulement habilitées à exploiter les serfs de façon vampirique, mais elles exerçaient également un pouvoir dominateur sur leurs personnes. Les serfs et les esclaves, qui représentaient 95 pour cent de la population du Tibet, ne disposaient d’aucun droit fondamental de l’homme et n’avaient aucune liberté. Dès la naissance, les serfs appartenaient à un propriétaire. Leur existence, leur mort et
Afin de protéger leurs propres intérêts, les propriétaires féodaux de serfs maintenaient en place un système social hiérarchisé et strict en même temps qu’ils exerçaient un pouvoir cruel. Les Treizième et Seizième Codes, qui ont été utilisés jusqu’à la fin des années 1950, stipulaient clairement le prix de la vie des diverses catégories sociales, allant de personnes aussi bon marché qu’un vulgaire cordage de paille à d’autres, plus chères que l’or. Les gouvernements locaux étaient dotés de cours de justice et de prisons et les grands monastères, de même que les nobles, avaient leurs propres prisons aussi. Les serfs qui osaient se révolter étaient persécutés selon le bon plaisir des seigneurs, sous cette dictature cruelle.
Ils étaient fréquemment insultés et battus ou devaient même affronter des châtiments d’une rare violence : par exemple, on leur arrachait les yeux, on leur coupait la langue ou les oreilles, les mains ou les pieds, on leur arrachait les tendons, à moins qu’on ne les noyât ou qu’on ne les projetât dans le vide depuis le sommet d’une falaise. leur mariage étaient à l’entière disposition de leur propriétaire. Traités comme du bétail, les serfs pouvaient être vendus, achetés, transférés, proposés en guise de dot, offerts à titre gracieux à d’autres propriétaires de serfs, utilisés pour apurer des dettes ou échangés contre d’autres serfs.
Les trois principaux ordres de propriétaires forçaient les serfs à assurer toutes sortes de corvées et à payer un loyer, ils les exploitaient en pratiquant l’usure. Les serfs devaient non seulement assurer des corvées pour les diverses institutions des gouvernements locaux, les fonctionnaires et l’armée, mais ils devaient également travailler sans le moindre salaire à l’entretien des récoltes et du bétail au profit des seigneurs, tout en payant diverses taxes. Certains d’entre eux devaient également s’acquitter de taxes et de corvées au profit des monastères.
Des statistiques ont montré que les taxes collectées par les gouvernements locaux du Tibet étaient répertoriées en plus de deux cents catégories et que les corvées assumées par les serfs au service des trois principaux ordres de propriétaires représentaient plus de 50 pour cent de leur travail, voire entre 70 et 80 pour cent en certains endroits. Avant la réforme démocratique, le montant total de l’usure au Tibet était deux fois plus élevé que celui de la production totale des serfs.

Les trois principaux ordres de propriétaires qui dirigeaient le Tibet ancien vivaient principalement dans des agglomérations ou des villes comme Lhassa. Ils étaient étroitement liés par des intérêts communs. Leurs membres – les fonctionnaires, les nobles et les moines supérieurs des monastères – changeaient parfois de rôle pour constituer des cliques dirigeantes puissantes ou pour arranger des mariages entre clans du même rang social dans le but de consolider leurs alliances.
Ils observaient également une règle stricte stipulant que les personnes de rang élevé et de basse extraction devaient être traitées différemment, ce qui, tant que le plan éthique que dans la réalité, consolidait les privilèges et intérêts des propriétaires de serfs. Les descendants des nobles restaient des nobles à jamais mais les serfs, qui constituaient la majeure partie de la population tibétaine, ne pouvaient jamais s’extraire de leur misérable condition politique, économique et sociale.
Le degré élevé de concentration du pouvoir et le gel du passage d’une classe sociale à l’autre allaient mener tout droit à la corruption et à la dégénérescence de la classe dirigeante ainsi qu’à la stagnation et à la décadence de l’ensemble du système social.
« L’intégration de la politique et de la religion » constituait le fondement du servage féodal au Tibet. Sous un tel système, la religion était non seulement une croyance spirituelle, mais également une entité politique et économique. L’oppression et l’exploitation existaient dans les monastères, qui jouissaient eux aussi des privilèges féodaux. Le despotisme culturel régnant sous cette structure sociopolitique théocratique ne pouvait fournir au peuple l’occasion de choisir sa propre croyance religieuse, pas plus qu’elle ne pouvait lui permettre de bénéficier
Les serfs n’avaient aucun droit de l’homme, même le plus élémentaire, et ils vivaient dans une indigence extrême. Un dixième des jeunes hommes du Tibet entraient dans un monastère et se faisaient moines. De la sorte, ils n’étaient pas tenus à la production matérielle ni à la reproduction humaine, et cela aboutit à une dépression économique ainsi qu’à un déclin de la population du Tibet. Avec cet asservissement spirituel et la promesse de la béatitude dans une vie ultérieure, le groupe privilégié des moines et des nobles privaient les serfs non seulement de leur liberté physique, mais encore de leur liberté spirituelle.
Le dalaï-lama, à l’époque principal représentant du servage féodal tibétain et chef du gouvernement local tibétain, ne s’est jamais embarrassé de « démocratie » ou de « droits de l’homme ». En fait, c’est par crainte de la réforme démocratique que le 14ème dalaï-lama et la clique au pouvoir déclenchèrent une rébellion armée en 1959 et gagnèrent l’exil après son échec.
Après s’être enfuie à l’étranger, la clique du dalaï-lama maintint toujours le cadre politique de base de l’intégration de la politique et de la religion. Selon ce qu’il appelle la « constitution » tibétaine, la dalaï-lama, en tant que figure de proue religieuse, exerce non seulement la fonction de « chef de l’État », mais il bénéficie également du pouvoir décisionnel final dans toutes les questions majeures auxquelles est confronté son « gouvernement en exil ».
Un phénomène intéressant, ici, c’est que les frères et sœurs du 14e dalaï-lama ont successivement occupé des postes clés, dans ce « gouvernement en exil » dirigé leur frère, prenant ainsi en charge des départements importants. Cinq membres de la famille du dalaï-lama ont été « bkha’ blon supérieurs » ou « bkha’ blon » (très hauts fonctionnaires des gouvernements locaux tibétains de l’ancien
d’une véritable liberté religieuse. régime). La famille du dalaï-lama et plusieurs autres familles contrôlent le pouvoir politique, économique, éducationnel et militaire du « gouvernement en exil » ainsi que ses principaux circuits financiers. Il semble que, ces dernières années, ils se soient mis à suivre les exemples occidentaux en organisant des « élections démocratiques » et en adoptant la « séparation des pouvoirs » mais, en fait, le dalaï-lama est toujours nanti de l’ultime pouvoir décisionnel, son « gouvernement en exil » est toujours étroitement lié à la religion et la fonction de « bkha’ blon supérieur » ne peut toujours être exercée que par des moines. Peu importe donc la façon dont la clique du dalaï-lama se pare d’ornements démocratiques puisque, en fait, elle constitue toujours une structure politique théocratique et une coalition de moines de rangs supérieurs et de nobles. La « démocratie » est-elle vraiment possible sous le pouvoir d’une structure politique théocratique et d’une alliance de moines et de nobles ? Le Tibet et d’autres éléments de la communauté tibétaine en Chine ont réalisé voici longtemps la séparation entre la politique et la religion, ils ont accompli des réformes démocratiques et mis en place des gouvernements régionaux autonomes et sont aujourd’hui engagés dans la construction politique et démocratique du socialisme.
Contrastant avec une telle réalité, le discours creux sur la démocratie que nous servent le dalaï-lama et ses partisans internationaux n’est qu’une parure à bon marché qu’ils exhibent pour abuser le public.

Xinhua News Agency
(China Daily, 14 novembre 2007, p. 10)

(Traduit par Jean-Marie Flémal)

source : »michel collon info »

Commenter cet article

G
L'indignation du public est manipulée : un exemple, le Monde tire (alors qu'il ne s'est rien passé depuis deux semaies) sur des manifs de moie, eton en voit un se faire malmener par un flic, et si on regarde de plus près, on voit que c'est au Népal. On cherche à faire durer le lus longtemps possible l'effet d'image négatif. quat à Cohn Ben Dit qui veut "foutre le bordel à Pékin" il se croit en 1900, pendant la guerre des boxers?Salut Diablo!
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E
Vincent Jauvert, journaliste auNouvel Observateur, revient sur ce que le député PS Pierre Moscovici appelle le "silence assourdissant" de Nicolas Sarkozy face aux événements du Tibet.Vincent Jauvert avance "plusieurs raisons, les évidentes et celles qui le sont moins".- Les raisons "évidentes" :La France, membre comme la Chine du Conseil de sécurité de l'ONU, a besoin de soutien sur plusieurs question cruciales : le Darfour, le Liban, l'Iran, l'élargissement du Conseil de Sécurité.- Les raisons moins évidentes :"Les gros sous et notamment le nucléaire (…)En novembre dernier, lors de la visite de Nicolas Sarkozy à Pékin, Anne Lauvergeon, présidente d'Areva, a signé un contrat faramineux: la vente de deux réacteurs de deuxième génération EPR à la Chine, contrat considéré comme le plus important de l'histoire du nucléaire civil.Et, dans la foulée, Areva est devenue partenaire officiel des Jeux Paralympiques de Pékin en 2008.Mais l'encre n'est pas encore sèche. Si Paris se montrait un peu trop critique, les autorités chinoises pourraient bien reprendre leur signature (…)"
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E
@ El Diablo<br /> Je comprends ton explication, mais il me semble quand même qu'il serait "normal" de partir du principe que tout peuple a le droit à son indépendance, non ?
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D
Je n’ai pas de position tranchée sur le Tibet et le séparatisme. Mais, j’ai appris au fil des ans à me méfier des campagnes contre des  méchants »  (aujourd’hui les chinois, hier les serbes, avant-hier les soviétiques) et pour les « gentils » (aujourd’hui les tibétains, hier les albanais du Kosovo, avant-hier les polonais). Car je sais que ceux qui orchestrent ce type de campagnes sont vraiment très mal placés pour donner des leçons …Je sais aussi que le Dalaï Lama est ouvertement soutenu par la CIA et je sais ce qu’est un état « libre et indépendant » quand il se nomme Lettonie, Estonie, Lituanie ou encore Kosovo. En fonction de cela, j’ai tendance à prendre du recul,  à chercher diverses sources d’informations pour tenter de me forcer une opinion et surtout je ne commence pas par hurler avec les philosophes officiels qui sont passés du col mao au Rotary club, glorieux défenseurs des « droits de l’homme » mais très discrets quand il s’agit, par exemple, de reconnaître le droit à l’existence d’un Etat viable et souverain pour le peuple palestinien. Voilà mon modeste point de vue sur ce sujet d’actualité –salut et fraternité – EL DIABLO  
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E
@ diablo<br /> Oui, c'est bien clair, il n'empêche que c'est bien le bordel ! Mais c'est ton blog et tu es le seul maître à bord. Et sinon, tu en penses quoi de l'occupation du Tibet par les Chinois ?
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F
J'ai oublié de dire que cela ne justifait en RIEN la répression du gouvernement Chinois.<br /> Françoi
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F
Très bon texte qui remet les pendules à l'heure.<br /> Notre gouvernement soutient ce fou dangereux...un de plus.<br />  <br /> FRançois883<br />  <br />  
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D
Quand il s'agit d'une "réponse" elle s'inscrit sous le commentaire auquel je réponds. Si je veux qu'elle s'inscrive sur le commentaire je dois faire moi même un "commentaire": est-ce bien clair ? 
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E
@ El Diablo<br /> Oui mais toi, quand tu réponds à un commentaire, il se met après ! C'est un peu le bordel, non ?
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E
Comment se fait-il que mes commentaires se placent au début alors que je les fais après ?
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D
Cela est lié au paramétrage du blog: cette présentation des commentaires permet de lire d'abord  le plus récemment publié - EL DIABLO
E
J'arrive plus à ajouter un commentaire...
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E
@ El Diablo<br /> Mais l'urgence n'est pas là !<br /> Si nous regardons le passé de n'importe quel pays, nous allons forcément trouver des horreurs... Ce que tu publie là peut être interprété comme une justification de l'occupation chinoise. C'est embêtant. Il aurait fallu ajouter un texte pour expliquer cette publication. C'est quoi "Xinhua News Agency" ?
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M
Merci pour cet article Diablo. Certes, il ne fera certainement pas de moi un défenseur inconditionnel de la "clique déviationiste et autoritaire"  qui est actuellement au pouvoir en Chine, quand même, cela m'a appris beaucoup de choses que j'ignorais totalement."Seule la vérité est révolutionnaire" et il importe de tout faire pour qu'elle soit connue de tous.Cordialement
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J
Il est étonnant qu'une relation de ce qu'était la "démocratie" du temps du pouvoir des moines bouddhistes (servage, barbarie), suscite tant d'expressions hostiles au régime chinois de la part de militants qui se situent "à gauche" ou à "l'extrême-gauche"...La pression idéologique impérialiste est efficace. Même les images télévisées montrant les saccages  par les Tibétains, encadrés de moines, de boutiques chinoises, d'incendies et d'agression contre des civils chinois, ne semblent pas être de nature à modifier le sentiment des camarades...Il faut continuer à expliquer  !
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E
Pourquoi publier cet article ? Le Tibet n'a-t-il pas le droit d'être un pays libre de son avenir ? En Irak, même si le chef d'état était un monstre, il me semble que beaucoup de gens de gauche ne souhaitaient pas que ce pays soit envahi par une puissance étrangère...
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D
Pourquoi publier cet article?: tour simplement pour informer les lecteurs de mon blog sur une réalité pour le moins escamotée sur les grands média quand le Tibet est évoqué. Salut et fraternité EL DIABLO 
J
Il est vrai qu'on n'a droit qu'à un son de cloche en l'occurrence. Et qu'il est plus facile a priori d'avoir de l'antipathie pour l'actuelle répression...
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