UKRAINE - OTAN : La réhabilitation du bataillon néonazi Azov en marche
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Les membres du bataillon Azov fait prisonniers par la Russie et gentiment rendus à leurs propriétaires reprennent, sans aucune surprise du service. Des bataillons entièrement équipés par l'OTAN se forment et ils entrent comme des brigades autonomes dans l'armée de terre ukrainienne. Les pays de l'axe atlantiste reviennent à leurs fondamentaux et légalisent la propagande d'Azov dans les réseaux sociaux. A la guerre comme à la guerre, mais l'Occident est en train d'y perdre son âme.
L'on se souviendra de l'échange de prisonniers entre la Russie et l'Ukraine fin septembre, réalisé sous les bons auspices de la Turquie et l'aide de l'oligarque "russe" Abramovitch, apportée en la matière à Londres, le jour de la mobilisation partielle en Russie. Si les échanges de prisonniers sont choses courantes en situation de guerre, ils ne concernent jamais des criminels de guerre, qui eux doivent être jugés et sont souvent pratiqués à la fin des conflits. (A ce sujet, vois notre article ici)
Sur les 215 Ukrainiens alors échangés, il y avait 108 néonazis d'Azov. La dénazification en marche ...
Deux informations intéressantes viennent de tomber, allant dans le sens de la "normalisation" d'Azov.
La situation se radicalise, donc les radicaux sont de plus en plus utilisés, au même titre que "le soutien" étranger. Le critère de qualification de la radicalité se déplace. Ici, selon l'équipe de Readovka :
"Une nouvelle brigade ukrainienne, équipée de chars occidentaux, est dirigée par un homme d'Azov, échangé en septembre.
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