Enfin! Sur L'ITALIE, Mélenchon a raison et ses détracteurs sont les fossoyeurs de la SOUVERAINETÉ et de la NATION

Par Jacques COTTA
Les attaques dont est l’objet Jean Luc Mélenchon sont tout aussi scandaleuses qu’éclairantes sur la politique des socialistes, Macronistes, ou autres qui les portent. Mélenchon fait un pas vers la Nation et la souveraineté aprés les avoir délaissées au profit d'un "retour à la gauche" que tous ses amis potentiels lui tombent dessus. Il a là la démonstration que ses recherches d'alliances à gauche ne peuvent être que vaines pratiquement, et vouées à l'échec politiquement. Il s’agit de questions de principe de première importance.
Les faits
La commission européenne a décidé de « retoquer » le projet de budget présenté par le gouvernement italien. Il s’agit d’une première, ingérence insupportable de Bruxelles dans les affaires d’un état souverain. Le gouvernement de Salvini, quoi qu’on en pense -et on trouvera sur « La-Sociale » un certain nombre de papiers qui font la clarté sur la coalition italienne, la Lega, sa politique et son personnel- le gouvernement de Salvini donc a établi un budget qui prend en compte les engagements pour lesquels le peuple italien a porté au pouvoir cette coalition: revalorisation des retraites, investissements publics, bas salaires. Cela évidemment est insupportable à Bruxelles dont la politique est contraire à ce type de décisions, aussi minimes soient-elles. Donc le projet de budget est rétorqué par l’oligarchie européenne qui vient s’immiscer dans les affaires d’un état souverain. Inacceptable!
La positon exprimée par Jean Luc Mélenchon réaffirme un principe tout aussi élémentaire que fondamental.«Dans cette affaire, les Français ont intérêt à défendre ceux qui défendent la souveraineté populaire. L'identité national française est une identité républicaine qui se confond avec l'idée de souveraineté populaire. C'est la raison pour laquelle il faut évidemment prendre parti pour le gouvernement italien contre la Commission européenne»…«Même si on désapprouve le gouvernement italien, ce qui est notre cas, tout en désapprouvant la Commission européenne».
La hargne socialiste
Il n’en faut pas moins pour que ce qui reste de l’appareil socialiste se déchaîne.
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