Conflit RUSSIE-UKRAINE: jusqu’à quand continuerons-nous d’avaler sans rien dire les couleuvres de Washington ?
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Le 13 août 2022
Dans leur grande majorité les médias occidentaux, dont tout particulièrement les français, semblent s’accorder pour prendre pour argent comptant l’ensemble du flux informationnel en provenance des États-Unis, sans même en recouper les fondements.
Dès le 24 février 2022, lorsque Vladimir Poutine lança l’opération spéciale en Ukraine, la messe semblait avoir été dite : le maître du Kremlin devenait soudain infréquentable. Le pathos emprunté par la plupart de nos journalistes n’avait comme seul objectif de couvrir d’opprobre le président Russe. Après une dizaine de jours de combats sur le terrain, dans les articles de ces plumitifs, ces pâles larbins de la Maison Blanche, rivalisaient d’obscénités pour lui diagnostiquer une psychose paranoïaque, n’hésitant pas à le comparer à l’inquiétant Mad Max, l’inquiétant personnage principal du film de George Miller joué par Mel Gibson.
Aujourd’hui, plus de cinq mois plus tard, cette campagne de dénigrement du président Russe n’a pas faibli d’un iota. Pire, sur les chaînes d’informations en continu des intervenants, spécialistes en « pyjama-charentaises » forçaient le trait d’un Vladimir affaibli, usé, devenu fou furieux parce qu’atteint d’une maladie incurable. On nous assurait alors que l’irrémédiable influence d’une lourde thérapie lui rongeait lentement la raison. Or, sous l’effet des drogues, le voici qui pousserait inconsidérément son pays à la ruine juste pour assouvir l’onirisme égoïste du gamin de banlieue qu’il fut à Saint-Pétersbourg : le rêve secret de voir de son vivant la résurrection de la Grande Sainte Russie, semblable à celle que Catherine II l’intrigante épouse du Tsar Pierre III avait réussi à reconstruire.