Macron et son clan responsables - À quand un délit de mise en danger de la vie d'autrui ? -Par Jean LÉVY
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« Épidémie de bronchiolite : faute de soignants et de lits, on doit transférer des enfants à 200 km de chez eux » ... et déprogrammer des opérations urgentes !
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Hôpitaux débordés, opérations déprogrammées, enfants en danger
Les services de pédiatrie sonnent l’alerte. Les déprogrammations se multiplient. Un calvaire pour les familles… et les soignants
On met des enfants en danger et il nous faut vivre avec cela. » La sentence tombe, abrupte, amère. Sous le pudique « avec cela » du Dr Oanez Ackermann, il faut entendre : avec inquiétude, frustration, extrême fatigue et, bien sûr, culpabilité. Les larmes aux yeux, cette praticienne hospitalière de Bicêtre, un des fleurons parisiens de l’Assistance publique, raconte comment, en novembre, elle a dû choisir entre deux patients : « Un bébé de 15 mois en attente de greffe du foie et un autre, encore plus jeune, plus grave. »
Un choix impossible, inhumain. « La petite fille de 15 mois a attendu trois semaines. Elle est arrivée dans un état gravissime, mais nous l’avons sauvée. Quand le foie ne fonctionne pas, trois semaines, c’est énorme ! Une vraie perte de chances », insiste le Dr Ackermann, du service d’hépatologie et de transplantation hépatique pédiatrique.
Et notre propre commentaire...
Scandale d'État : Macron et son monde financier mettent en danger la vie des Français.
En poursuivant la suppression des lits dans les hôpitaux publics, en gérant ceux-ci sur la base de la rentabilité, en refusant les crédits nécessaires à leur mise à niveau avec le monde d'aujourd'hui, le locataire de l'Elysée et son gouvernement jouent au bonneteau avec la vie des Français.
De l'argent, il y en a, : des dizaines et des dizaines de milliards accaparés par ces messieurs du CAC 40 pour leurs profits et leurs dividendes toujours en hausse. Mais Bruno Le Maire, le ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique (sic) de monsieur Macron, a mis sa démission en jeu si on osait pénétrer dans la caverne d'Ali Baba pour y trouver l'or nécessaire à la « budgétisation » de la Santé des Français.
Il serait temps qu'on étende le délit de " mise en péril de la vie d'autrui" à tous les responsables, au plus haut niveau, du pouvoir élyséen.
JEAN LÉVY