À l’INTERNATIONALE, ça branle dans le manche ! – Par Jacques COTTA
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Par Jacques COTTA
Ah, si la situation internationale pouvait se limiter aux manœuvres macroniennes censées redorer le blason présidentiel ! La presse française —singulièrement la presse audiovisuelle— serait alors dans le juste avec le pape venu délivrer la bonne parole migratoire, après le souverain britannique confiant ses préoccupations climatiques, accueilli en grande pompe par Macron notamment dans une réception à Versailles d’un montant évalué à 6 millions 270 milles euros, que les 10 millions de français qui se privent pour manger à leur faim auront appréciée.
Mais si on veut bien quitter les ministres, conseillers, people, et autres parasites venus se remplir la panse au frais de la Nation, la situation internationale pose des sujets des plus préoccupants.
Trois éléments nous concernent directement.
-> D’abord la guerre en Ukraine, banalisée, qui semble être maintenant installée durablement dans les esprits.
Le bruit des armes y est quotidien. Des dizaines de milliers d’Ukrainiens et de Russes y perdent leur vie dans l’indifférence générale …
Les destructions sont massives montrant l’efficacité des armes utilisées.
La coalition semble inébranlable, et dans l’euphorie de la barbarie, au Canada, le parlement en présence de Zelensky, rend hommage à "un des premiers combattants contre les russes", Yaroslav Hunka, âgé de 98 ans, ancien enrôlé dans la Division SS Galicie, accusée d’avoir perpétré de nombreux massacres.
Mais si on revient aux choses qui perdureront après la guerre, les questions économiques et agricoles notamment, les coalisés montrent des failles. Alors que l’OTAN pousse à la roue pour l’adhésion de l’Ukraine, on apprend de Varsovie que le missile qui s’était abattu sur le sol polonais et tué deux civils dans le village de Przewodow, près de la frontière avec l’Ukraine, en 2022, était ukrainien et non russe.
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