DÉSERTS MÉDICAUX : c’est de pire en pire mais des SOLUTIONS EXISTENT
/image%2F1449569%2F20231124%2Fob_34d4c2_desert-medical.jpg)
/image%2F1449569%2F20231124%2Fob_b74d94_france-info.jpg)
Déserts médicaux : « La situation empire », dénonce l'UFC-Que Choisir, qui saisit la justice pour « inaction » de l'État
L'association UFC-Que Choisir a annoncé mardi avoir déposé un recours devant le Conseil d'État pour dénoncer "l'inaction" du gouvernement face aux inégalités croissantes d'accès aux soins et l'enjoindre à agir.
"On passe à la vitesse supérieure et on attaque l'Etat pour inaction" parce que de "larges pans du territoire voient leur situation se dégrader en termes d'accessibilité", à la médecine, se désole Maria Roubtsova, chargée de mission santé à l'UFC-Que Choisir qui saisit le Conseil d'État. "On veut laisser aux médecins le choix de s'installer là où ils veulent mais parmi les zones sous dotées où il y aura des départs en retraite dans les années à venir", contrairement aux dentistes, aux sages-femmes, aux kinés ou les infirmières, "les médecins sont la seule profession soignante à disposer d'une telle liberté d'installation", pointe l'UFC Que-Choisir.
franceinfo : Pourquoi avez-vous décidé de saisir le Conseil d'Etat "pour inaction" de l'Etat sur la question des déserts médicaux ?
Maria Roubtsova : Depuis 2012 on alerte les autorités, on publie des cartographies des déserts médicaux. On s'est déjà fait recevoir par des ministres, par des cabinets ministériels qui nous ont écoutés très poliment mais pour l'instant.
POURSUIVRE LA LECTURE :
Le ministre de la Santé se dit « énervé » après l'action en justice d'UFC-Que Choisir qui accuse le gouvernement d'inaction face aux déserts médicaux
L'association a déposé un recours devant le Conseil d'État pour dénoncer "l'inaction" du gouvernement devant les inégalités d'accès aux médecins.
POURSUIVRE LA LECTURE :
/image%2F1449569%2F20231124%2Fob_ab0370_cgt-retraites-logo-fleur.jpg)
Face aux déserts médicaux,
DES CENTRES DE SANTÉ PUBLICS
: une solution d’avenir
POURSUIVRE LA LECTURE :