Georges KUZMANOVIC : « une liste citoyenne pour les européennes est une nécessité »
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NOTE DU BLOG : Pour un progressiste conséquent, l'enjeu des élections européennes de juin prochain, c'est de donner de la visibilité au combat pour la sortie de l'UE de l'Euro et de l'OTAN.
Or, malheureusement aucune grande formation politique de gauche ne mène aujourd’hui clairement cette bataille, loin du NON à Maastricht de 1992 et de celui de 2005.
Alors que le projet d’Europe fédérale se profile, mortel pour notre souveraineté et nos conquis sociaux, c'est, en effet, pourtant la clé pour entrer dans une phase de réformes en faveur des aspirations populaires, pour retrouver une France prospère, industrielle, sociale et agissant activement pour la paix.
L’heure est grave et il ne s'agit pas de barguigner : il faut des mots d'ordre clairs !
Dans ces conditions et à ce stade, le combat de l'UPR et d'Asselineau, semble le plus pertinent malgré son passé politique droitier et même si l'on peut être réservé sur le personnage à l'égo manifestement un peu surdimensionné.
Ne faisons pas la fine bouche : l'objectif c'est 5% des voix et donc l’obtention quasi automatique de 5 sièges d’eurodéputés, 5 porte-voix au parlement européen.
Ce n’est éventuellement possible qu'en s'alliant.
Bénéficiant de l'antériorité et d'une argumentation solide construite au fil des ans, ainsi que d'une relative notoriété suite à la candidature de F.Asselineau à la présidentielle de 2017, il apparait que l'UPR soit la plus à même de mener une large liste.
Ainsi il devrait y avoir de la place pour les amis de G.Kuzmanovic et pourquoi pas pour des militants d'autres groupes politiques de gauche constitués notamment autour des mêmes objectifs comme candidats de cette sensibilité, sous-représentée, à ce stade, sur la future liste UPR.
De toute évidence, en effet, le salut réside dans la construction d’une liste commune aux opposants à l'UE, à l'Euro et à l'OTAN.
À défaut la désillusion risque d’être au rendez-vous au soir du 9 juin.