Cambriolage au musée du Louvre : CE QUE DIT LA CGT-CULTURE et toutes nos informations
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Cambriolage au musée du Louvre : sécurisation et dotations de moyens urgentes de nos musées et monuments publics !
Le cambriolage éclair de neuf pièces de la collection de bijoux de Napoléon et de l’impératrice Eugénie au musée du Louvre ce 19 octobre 2025 révèle les carences des établissements patrimoniaux ouverts au public, faute de financements et de personnels suffisants pour l’entretien bâtimentaire, la sûreté des biens et la sécurité des personnes.
Le cambriolage du plus grand musée du monde vient allonger une liste déjà trop longue
- Mi-octobre 2025, c’est le musée départemental Jacques Chirac à Sarran qui a été, en deux jours, braqué puis cambriolé.
- Début septembre, c’est le musée national Adrien Dubouché à Limoges qui a été victime d’un vol de 3 trésors nationaux pour un préjudice de 7 M€.
- Mi-septembre, c’est le muséum d’histoire naturelle qui s’est fait voler de pépites d’or.
- En 2023, c’est le château de Champs-sur-Marne (géré par le Centre des Monuments Nationaux) qui est la cible d’un vol de 8 vases chinois.
Un « modèle économique » et des conditions de travail largement dénoncés par la CGT-Culture
Dès février 2025, la vétusté de l’établissement faisait l’objet d’une note confidentielle de la présidente adressée à la ministre, aboutissant à un « plan présidentiel » focalisé sur une salle « spéciale Joconde » déconnecté des véritables enjeux en termes de préservation et sécurisation des bâtiments (communiqués de la section CGT du Louvre et celui de la CGT-Culture et du SNMD).
Le 17 juin dernier, les personnels d’accueil et surveillance du Louvre étaient en grève pour dénoncer la surfréquentation du musée et le sous-effectif chronique qui engendre des conditions de travail intenables – le musée a perdu plus de 200 postes en 15 ans.
Comme nous le dénonçons depuis des décennies, le désengagement de l’État à l’égard de ses opérateurs les conduit à rechercher sans cesse des ressources propres à travers des dérives mercantiles au détriment des œuvres, de l’entretien du patrimoine, des conditions de travail, d’une véritable politique scientifique et culturelle et d’une accessibilité pour l’ensemble des publics.
Le projet de budget Culture 2026 très en deçà des besoins réels des établissements publics culturels nationaux
La mission Culture perdrait près de 300 millions d’euros par rapport à la loi de finance initiale 2025. Le programme Patrimoines serait amputé de plus de 230 M€ dont 168 M€ en investissement et 64 M€ en dépenses d’intervention.
Du côté des personnels, le schéma d’emploi du ministère va perdre 172 postes dont 131 dans ses établissements. La filière Accueil, surveillance et magasinage du ministère compte aujourd’hui moins de 2 800 agent.e.s sur l’ensemble du périmètre ministériel. Nous estimons le besoin de recrutement d’au moins 500 agent.e.s supplémentaires !
Nous avions dès janvier alerté sur le manque de concours et de postes ouverts dans cette filière emblématique du ministère de la Culture toujours défendue par la CGT-Culture. Ce matin au Louvre, leurs compétences et leur professionnalisme ont également été salués par la direction de l’établissement.
Il est grand temps que la ministre de la Culture et le gouvernement dans son ensemble prennent leurs responsabilités en donnant au service public culturel des moyens à la hauteur de ses missions et de ses biens nationaux !
Pour la CGT-Culture, les urgences sont :
- La réunion sans délai des instances de représentation des personnels au musée du Louvre et au ministère
- L’ouverture d’une enquête de l’inspection générale des affaires culturelles sur le financement de l’Etat et le modèle économique actuel des musées nationaux
- Le réengagement de l’État dans le financement de ses établissements
- Un plan massif de création d’emplois publics titulaires dans la filière accueil, surveillance et magasinage
- La ré-internalisation des missions externalisées
- La suppression des niches fiscales et la réaffectation des recettes en subventions publiques au réseau des musées nationaux
- La recréation d’une Direction des Musées de France
- La mise en place d’une politique au niveau central des prêts et dépôts
TEXTE EN PDF CI-DESSOUS:
LOUVRE : le scandale du cambriolage s’amplifie, fermetures et critiques en série
Le cambriolage spectaculaire du Louvre, où huit joyaux de la couronne impériale ont été dérobés, continue de secouer la France. La fermeture prolongée du musée, les critiques des syndicats, les polémiques politiques et les nouveaux éléments de l’enquête attisent les tensions.
Le vol audacieux de huit joyaux de la couronne impériale, perpétré en seulement sept minutes dans la galerie d’Apollon, maintient le Louvre sous haute pression. Fermé au moins jusqu’à mercredi, le musée fait face à une vague de critiques, tandis que l’enquête progresse et que les débats politiques s’enflamment.
Critiques syndicales et malaise du personnel
Les syndicats, notamment la CGT Culture, dénoncent des failles béantes dans la sécurité du Louvre. Un prérapport de la Cour des comptes révèle qu’un tiers des salles, dont celles des ailes Sully et Richelieu, manquent de vidéosurveillance.
Les agents, en sous-effectif chronique, avaient alerté dès juin sur la dégradation des conditions de travail, par le biais d’une grève pour protester contre la surfréquentation. Lors d’une réunion le 20 octobre, le personnel a réclamé des garanties pour reprendre le travail, suggérant même la présence de policiers en civil dans les salles. La direction, sous la houlette de Laurence des Cars, est accusée de négligence, malgré son appel à l’unité.
Polémiques politiques en ébullition
Le cambriolage a viré au scandale politique. Marion Maréchal, eurodéputée RN, exige la démission de la directrice du musée et de la responsable de la sécurité, dénonçant une « humiliation nationale ».
Ian Brossat, sénateur PCF, met en cause, sur BFM TV, la responsabilité de la ministre Rachida Dati : « C’était déjà une hérésie de nommer Mme Dati alors qu’elle est poursuivie pour corruption. C’est une hérésie au carré de la garder ministre alors que le Louvre, qui est sous sa tutelle, a été cambriolé malgré toutes les alertes. »
Gérald Darmanin, ministre de la Justice, admet un « échec » et une « image déplorable ». En réponse, Dati défend l’opérationnalité des dispositifs de sécurité et fustige quarante ans d’abandon qui ont conduit à ce braquage, lequel n’est pas vraiment une surprise.
Derniers éléments de l’enquête
L’enquête, menée par la Brigade de répression du banditisme (BRB) et l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC), progresse avec la découverte d’un casque, d’un gant et de clés dans la nacelle volée. Les cambrioleurs, toujours en fuite, auraient utilisé une disqueuse pour fracturer vitrines et fenêtres.
Une inspection administrative, ordonnée par Rachida Dati, vise à clarifier le déroulé du casse, tandis que Laurent Nuñez a annoncé un renforcement de la sécurité des musées. Quelques heures après le vol du Louvre, un autre cambriolage a eu lieu au musée de Langres, en Haute-Marne, témoignant là encore de l’état déplorable du patrimoine français et de l’absence de protection dont il souffre.
PT
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Le braquage du Louvre n’est pas une surprise
Derrière le braquage spectaculaire du Louvre, Alexandre Regnaud pointe une vérité dérangeante : celle d’un patrimoine français en grand danger, pour sa sécurité comme dans son existence même, entre manque de moyens et incompétence de l’État.
Le braquage spectaculaire du Louvre le 19 octobre et le vol de bijoux de la collection impériale passionnent et renvoient l’inconscient collectif aux plus populaires films de cambriolage et à leurs monte-en-l’air charismatiques. Il n’a pourtant rien d’hollywoodien et s’inscrit dans une tendance à la dégradation de la sécurité et, d’une manière générale, de l’état du patrimoine français.
Le constat est fait par la ministre de la Culture, Rachida Dati : « La criminalité organisée aujourd’hui s’attaque aux objets d’art […] les musées sont devenus des cibles. »
Et c’est un fait : le cas du Louvre est loin d’être isolé.
Pour prendre les exemples les plus récents, en septembre, le Muséum national d’Histoire naturelle de Paris s’est fait dérober plusieurs spécimens d’or natif pour un préjudice d’environ 600 000 euros. Le même mois, un musée de Limoges spécialisé dans la porcelaine a été cambriolé pour un préjudice estimé à 6,5 millions d’euros.
Les chiffres les plus récents du ministère de la Culture concernent 2023 et recensent le vol d’un total de 55 « objets mobiliers » (œuvres d’art, orfèvrerie, meubles, etc.) inscrits ou classés au titre des monuments historiques. Et 97 l’année précédente, un record.
En 2022, un rapport sénatorial soulignait la vulnérabilité particulière des églises, propriétés de l’État en France. L’avenir lui a donné raison, puisqu’on note + 35 % de vols dans les églises au premier semestre 2025 par rapport à 2024, faisant déjà suite à une augmentation de 24 % des vols entre 2022 et 2024. Dans l’Aisne, 20 églises ont été cambriolées début 2025, vingt autres dans les Landes et sept dans les Pyrénées-Atlantiques.
Une tendance parfaitement connue du ministère de la Culture, qui y fait référence sur son propre site internet. Tout comme elle est connue du nouveau ministre de l’Intérieur et ancien préfet de police de Paris, Laurent Nuñez : « On sait très bien qu’il y a une grande vulnérabilité dans les musées français. »
Comment l’ignorer en effet, quand les salariés du Louvre étaient précisément en grève le 16 juin 2025 pour dénoncer le « manque de personnel pour assurer la sécurité ». Une situation que même le visiteur attentif (et le braqueur potentiel) peut appréhender, de nombreuses salles étant régulièrement fermées par manque d’effectifs de surveillance.
En France, la sécurité des musées et monuments repose sur la responsabilité de leurs propriétaires, publics ou privés. Et donc principalement sur leur capacité à financer ces mesures. Or, les collectivités territoriales et les propriétaires privés manquent évidemment de moyens. Et ce n’est pas mieux pour l’État. Les musées et monuments sont donc sécurisés a minima, quand ils ne tombent pas tout simplement en ruine.
Ainsi, même pour le prestigieux Louvre, un rapport de la Cour des comptes, non encore publié mais ayant fuité suite au braquage, révèle un retard persistant du plan de sécurisation, faute d’investissement. De manière incroyable, 60 % des salles de l’aile Sully et 75 % de celles de l’aile Richelieu ne sont toujours pas équipées de caméras de surveillance. Par ailleurs, la présidente Laurence des Cars alertait dans une note de janvier 2025 sur la « vétusté » du musée et « l’obsolescence [des] équipements ».
Face à cette honte nationale, que le monde entier peut constater dans un des musées les plus visités de la planète, l’État répond que le budget du patrimoine était en hausse en 2024.
Mais un rapport du Sénat précise que les deux tiers des crédits supplémentaires servent à compenser l'inflation et la hausse des coûts de l'énergie. Qui plus est, la plupart des crédits sont déjà consommés pour les années en cours, voire pour l'année suivante, et sont en général fléchés sur des opérations médiatiques. La restauration de Notre-Dame (dont l’état défectueux du système d’alerte incendie, faute d’entretien, est une des causes du drame) en est le meilleur exemple.
Par ailleurs, certains grands établissements, comme le Louvre ou Versailles, ont vu leurs subventions de fonctionnement réduites. Pour le Louvre, la subvention de l’État est passée de 111 millions d’euros en 2022 à 96 millions d’euros en 2024. Et alors que 100 millions d’euros sont nécessaires pour les travaux de restauration prioritaires, seuls 26 millions étaient assurés en 2024.
Alors, pour compenser sa totale inefficacité faute de moyens, le ministère fait des fiches-conseils et les met en ligne sur son site. Il met aussi à disposition un « conseiller sûreté national », avec le grade de commandant de police, et même deux « conseillers sécurité incendie », issus de la BSPP : soit trois personnes pour… l'ensemble du territoire et près de 45 000 sites.
Le résultat, ce sont les vols dont vous venez de lire les chiffres, y compris celui du Louvre, mais aussi, et surtout, la dégradation irrémédiable de l’ensemble du patrimoine français, mobilier et immobilier.
Au Louvre toujours, il suffit de faire un tour dans les galeries et de voir, par exemple, l’état de dégradation des peintures de Géricault, dont le célèbre Radeau de la Méduse. Quand on compare avec les œuvres exposées à la National Gallery de Londres ou au Musée royal de Bruxelles, par ailleurs tous deux gratuits contre les 22 euros d’entrée du Louvre, il y a de quoi s’interroger.
D’une manière générale, 20 % des 45 000 monuments historiques sont en mauvais état et 5 % (soit environ 2 000 sites) sont considérés comme étant en péril. Parmi les 15 000 édifices religieux classés, 4 000 sont « en danger ».
Moralité : au lieu de payer des missiles à la junte de Kiev pour bombarder les civils du Donbass, le gouvernement français ferait mieux d’utiliser l’argent d’impôts déjà confiscatoires pour protéger le patrimoine, l’héritage culturel français et les joyaux de la couronne — enfin, ceux qui n’ont pas encore été volés du fait de son habituelle incompétence.
PT
Braquage au Louvre : témoignage alarmant de l’état déplorable du patrimoine français et de sa destruction volontaire
Alors que le 19 octobre, plusieurs pièces de collection d’une valeur inestimable ont été volées au Louvre, la question de l’état du patrimoine français dans son ensemble, et notamment de sa sécurité, se pose. Car cet incident n’est, hélas, que le dernier d’une série déjà longue. Jimmy Lisnard-Panetier a enquêté sur ce sujet.
Arsène Lupin lui-même n’aurait pas osé le faire, et pourtant, le 19 octobre 2025, un groupe de quatre individus s’est introduit par effraction dans le musée le plus visité au monde, peu après son ouverture.
Ne rencontrant aucune résistance ni dispositif de sécurité digne de ce nom, les braqueurs sont repartis aussi vite qu’ils étaient venus, devant des visiteurs stupéfaits par la scène. Durée totale de l’opération : sept minutes, selon le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez.
Mais comment cela a-t-il pu se produire ? Bien qu’une enquête soit déjà en cours, ce vol n’est pas le premier — loin de là — et cela fait déjà plusieurs années que le patrimoine français est de plus en plus négligé.
La culture française en danger
Rien que sur les deux dernières années, plusieurs faits de ce type ont été répertoriés :
- 4 septembre 2025 — Limoges (Musée national Adrien-Dubouché)
Trois pièces de porcelaine de très grande valeur (deux plateaux chinois et un vase). Évaluation du préjudice : 9,5 M€ environ. Intrusion de nuit par effraction (fenêtre).
- 20 novembre 2024 — Paris (Musée Cognacq-Jay)
Braquage pendant l’exposition « Luxe de poche » : tabatières et boîtes précieuses (prêts du Louvre, du Victoria & Albert Museum et des collections royales britanniques). Préjudice annoncé : 1 M€ environ.
- Mars–avril 2025 — Guémené-sur-Scorff (Morbihan, église Notre-Dame-de-la-Fosse)
Vols répétés de bustes reliquaires et statues en bois (deux, puis deux autres un mois plus tard) dans cet édifice religieux.
Et pour ce dernier exemple, il est à noter que les établissements religieux catholiques sont particulièrement touchés par les vols, mais également par des incendies et autres actes de malveillance.
Requiescat in pace
Selon la Direction nationale du renseignement territorial, entre janvier et juin 2025, 401 faits anticatholiques ont été recensés, soit une hausse de 13 % par rapport à la même période de 2024. Les atteintes aux biens (tags, vols, hosties dérobées, incendies, dégradations) représentent 92 % du total, le reste concernant les atteintes aux personnes.
Certains grands édifices ne sont pas épargnés par ce phénomène. Même si la piste criminelle a tout de suite été écartée pour l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris en 2019, ce n’est pas le cas pour la cathédrale de Nantes en 2020, où le coupable a été appréhendé et a reconnu les faits. Ce dernier, alors que le préjudice patrimonial a été estimé à 40 millions d’euros, n’a écopé que de quatre ans de prison lors de son jugement en 2023. C’est bien peu pour avoir réduit en cendres une partie de l’Histoire de France.
Mais derrière ces faits spectaculaires, c’est presque toutes les semaines que des chapelles de campagne sont vandalisées ou pillées dans l’indifférence générale. Les médias restent muets comme des tombes, à quelques exceptions près, préférant mettre en avant les actes antireligieux visant d’autres édifices.
Et pourtant, les chiffres sont plus que révélateurs. En 2021, sur 1 659 actes antireligieux, 857 visaient des chrétiens, 589 des juifs et 213 des musulmans. Pourquoi donc ce silence ? La laïcité ? Impossible, puisque l’on met en avant les autres religions. Alors quoi ? Honnêtement, je ne saurais quoi répondre. Je ne souhaite pas partir dans des suppositions qui flirtent avec le complotisme.
Chacun se fera son propre avis. Mais une chose est sûre : que ce soit le Vatican ou l’État français, les deux sont incapables de protéger un héritage culturel auquel ils sont intimement liés.
Manques de moyens et de volonté évidents
L’inefficacité des gouvernements successifs pour préserver et protéger le patrimoine de l’Hexagone est affligeante. Les dirigeants politiques sont tellement incapables d’agir — ou ne souhaitent pas le faire — que c’est sous l’impulsion de Stéphane Bern, grand défenseur de l’Histoire de France, qu’ils ont daigné lancer un appel aux dons via le « Loto du patrimoine » en 2017.
L’initiative de Stéphane Bern, bien que louable, n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan et ne permet de restaurer que quelques monuments parmi les milliers que compte la France. Et plus grave encore — comprenez-le bien : l’État français fait littéralement la manche auprès de ses contribuables pour entretenir des monuments multicentenaires…
Mais les Français ne paient-ils pas déjà assez d’impôts pour cela ? La France est le pays le plus taxé au monde. Où va donc cet argent ? — Monsieur Zelensky, une idée peut-être ? —
Cependant, est-ce si étonnant lorsqu’on sait qu’Emmanuel Macron avait déclaré, selon ses propres mots, qu’« il n’y a pas de culture française » ? Cet homme méprise au plus haut point l’histoire millénaire de la France, ses racines chrétiennes et son peuple. Un de ses derniers faits d’armes n’est autre que son intention de prêter la tapisserie de Bayeux aux britanniques. Déjà fragilisée, va-t-elle supporter le transport ? Et les Anglais nous la rendront-ils vraiment ? Elle ne sera peut-être plus en état de bouger une fois chez eux…
En définitive, Macron est un globaliste qui souhaite, comme ses semblables, effacer l’identité des peuples, briser leurs repères afin de mieux les asservir. Car sans racines et sans connaissance de ce d’où l’on vient, il est quasiment impossible de prospérer et d’avancer sereinement.
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VOIR ÉGALEMENT LE LIEN CI-DESSOUS:
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Le point sur le vol des bijoux de la Couronne au Louvre - La Tribune de l'Art
Si nous ne publions cet article que très tard après l'événement, c'est que nous étions mobilisé sur les plateaux de télévision et sur les radios, afin de tenter de donner un éclairage sur ...
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