L'IMPASSE DU DÉBAT ÉCONOMIQUE EN FRANCE
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Alors que la crise du pays semble sans fin, malgré la croissance annoncée par l'Insee qui semble moins médiocre que ce que l'on aurait pu craindre. À tel point que beaucoup remettent en question ces chiffres. Après la croissance en question est de 0,5% sur trois mois, le gouvernement table sur 0,7 % de croissance en 2025, je rappelle à titre de comparaisons que l'on parlait de crise économique quand Mitterand fit le fameux tournant libéral alors que la croissance économique était en 1982 de 2,5%. Une croissance qui va bien sûr s'effondrer avec les « remèdes » libéraux. Mais c'est une autre histoire. Tout cela pour dire que nous nous sommes tellement habitués depuis 50 ans à des taux de croissance sans cesse plus faible que le gouvernement saute de joie parce que la croissance atteint 0,7%. C'est dire si la situation du pays est absolument dramatique.
Je ne vais pas ici discuter les chiffres de l'Insee, l'organisme traite sur l'ensemble des activités du pays, les images de fermeture d'entreprises et de commerces peuvent être compensées par d'autres activités qui ne nous apparaissent pas au premier abord. Même la fermeture record d'entreprises peut s'expliquer par deux mécanismes, le premier c'est l'effet massif des subventions distribué n'importe comment par Macron pendant le Covid qui a fait perdurer des entreprises qui auraient dû péricliter sans ça. De l'autre l'effet d'endettement privé résultant aussi des mesures Covid et qui étrangles maintenant l'activité des entreprises qui n'arrivent pas à rembourser. Ce mécanisme peut d'ailleurs se mesurer à la forte augmentation de la dette privée en France ces dernières années. Un phénomène dont on parle peu et qui est pourtant plus important que la dette publique en réalité. L'endettement privé n'est ainsi toujours pas revenu au niveau d'avant la crise du Covid, ce qui explique sans doute en grande partie la multiplication des faillites. À cela, nous pouvons ajouter le taux d'épargne toujours très élevé, il semble même être passé au-dessus du niveau d'épargne allemand, ce qui n'était pas arrivé depuis l'an 2000. Au passage, cela montre le niveau de fausseté de la croyance libérale sur le lien entre l'épargne et l'investissement. Il n'y a pas d'égalité entre les deux et une augmentation de l'épargne ne se traduit pas forcément par une hausse des investissements. Car, au final, c'est surtout la demande qui pilote l'investissement des entreprises.
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L'impasse du débat économique en France
Alors que la crise du pays semble sans fin, malgré la croissance annoncée par l'Insee qui semble moins médiocre que ce que l'on aurait pu craindre. À tel point que beaucoup remettent en questio...
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