Dimanche 18 novembre 2018, L'INSOUMISE Farida AMRANI se présente aux suffrages des électrices et électeurs de la 1ère circonscription de L'ESSONNE
Je me présente à vous, simplement, pour vous parler d'avenir.
Parce qu’on ne peut pas laisser une minorité décider pour nous, nous devons devenir actrices et acteurs de notre quotidien. La politique, ce n’est pas prendre des décisions pour les autres. La politique, c'est faire ensemble. Ce sont nos engagements respectifs qui feront la société de demain.
Les dimanches 18 et 25 novembre 2018, seul votre vote permettra à notre circonscription de respirer à nouveau.
Ensemble, écrivons l’avenir.
Farida AMRANI
L'INTERVIEW DE FARIDA AMRANI :
Bonjour Farida Amrani, à peine plus d’un an après la législative de 2017, vous êtes à nouveau candidate LFI à la législative partielle avec votre suppléant Ulysse Rabate. Pourriez vous nous dire quelques mots à votre sujet pour ceux qui ne vous connaissent pas ?
Je m’appelle Farida Amrani, j’ai 42 ans. Je suis maman de 3 filles, syndicaliste et conseillère municipale d’opposition à Evry. Je suis candidate LFI à la législative partielle de l’Essonne qui aura lieu les 18 et 25 novembre prochains.
Comment se passe votre campagne ?
Très bien. C’est une campagne courte mais tellement intense. Je ressens une dynamique et une volonté de bousculer l’avenir.
Quelles sont vos principales propositions de campagne pour les habitants de l’Essonne ?
Je crois que la première est simple, pas une proposition mais un engagement. Je serai une députée présente, localement comme sur les sièges de l’assemblée nationale. Je ne courberai pas l’échine ni face à la macronie ni face au pouvoir de l’argent.
Néanmoins, les sujets locaux à porter ne manquent pas, du réseau de RER D à l’Hôpital Sud-Francilien, les services publics ne peuvent pas être les sacrifiés de ce quinquennat.
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LA SUITE EN LIEN CI-DESSOUS :

Adresse aux candidats du binôme PCF/ Génération.s à la législative partielle du 18 novembre 2018 dans la 1ère circonscription de l'Essonne (Corbeil - Evry) :
Naturellement nous sommes du même côté de la barricade dès que montent les périls et nous nous y voilà. La liquidation est en cours et l'autoritarisme pointe pour peu qu'une résistance apparaisse. Soyons sûrs ce n'est qu'un début, tous seront touchés. C'est dans ce contexte que se présente une élection partielle suite à la démission du député sortant, Manuel Valls. Là, il ne s'agit pas de redéfinir un rapport de forces à gauche. Ne tournons pas autour du pot : dans l'urgence et en tenant compte de celui établi il n'y a qu'une grosse année, il me semble que la seule position responsable et potentiellement victorieuse contre la macronie eut été de reconduire unitairement la candidature LFI de Farida AMRANI qui a frôlé la victoire en 2017, ceci en passant outre toute autre considération. C'est un principe qui a déjà prévalu par le passé dans le camp de la gauche républicaine dans des circonstances similaires. N'oublions pas que l'abstention populaire est toujours encore plus massive dans ces contextes et que la dispersion des candidatures ne fera que l'amplifier. Je pense que prendre un siège, par la gauche, à Macron dans la situation actuelle aiderait sans doute à la construction d'un dynamique qui a du mal à émerger. Ce n'est pas le choix du PCF, je le regrette vivement et je pense que c'est une faute politique, ai-je le droit de l'affirmer sans être traité de vipère lubrique? -
N.B. : je précise que si nous nous trouvions dans un contexte où le PCF avait atteint le second tour et frôlé la victoire en 2017 je développerai à son profit le même raisonnement.
El Diablo