L’entreprise d’élimination de la LANGUE FRANÇAISE jusque dans les assiettes du chef Bocuse
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Régis Ravat de l’association de défense de la langue française AFRAV alerte : Paul Bocuse disparaît au profit de l’anglais ! Et Georges Gastaud, président de l’association CO.U.R.R.I.E.L de souligner :
Libre à vous, qui plus est au nom de l’ « excellence française » (!), de substituer veulement au nom mondialement connu de Paul Bocuse, l’acronyme anglicisant et totalement insipide « LYFE ».
Laissez-nous simplement vous dire, comme nous allons aussi l’écrire à nos correspondants belges, africains, suisses, québécois, etc. que des gens qui ne savent même pas respecter leur propre langue, donc leur propre pays, laissent planer les plus grands doutes sur leur aptitude future à respecter nos palais.
Bonne cuisine linguistiquement aussi indigente qu’indigne !
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L’institut Paul Bocuse à Lyon a changé de nom et s’est choisi pour le remplacer un acronyme en anglais : LYFE, pour, Lyon for excellence.
Sans honte ni complexe, pour justifier cette dénomination anglaise, les responsables invoquent « les racines lyonnaises » et « l’art de vivre à la française » comme si le nom de Paul Bocuse qui a fait la renommée internationale de cet institut était devenu subitement une tare à porter.
Hélas, ce n’est pas la seule défrancisation de nom à laquelle nous assistons.
À l’image de l’Institut Paul Bocuse qui est devenu « Lyfe », « La Fourchette », une plate-forme française de réservation de restaurants en ligne, est devenue « The Fork » et « Taille Fine », un produit de Danone, une multinationale alimentaire française, est devenue « Light and Free ».
Pour contrecarrer ces anglomanes — des Français disciples du tout à l’anglais, véritables Kollabos au service de la langue hégémonique du moment, une langue qui peu à peu se substitue à la nôtre et qui finira par la rendre INUTILE comme le sont devenues nos langues régionales — la seule solution, puisque nous ne pouvons pas, hélas, leur faire des procès (entreprises privées) c’est de boycotter ces entreprises, boycotter du nom du Britannique Charles Cunningham Boycott qui employa en son temps la méthode de la mise à l’index pour protester contre l’abus de ses patrons.
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