Liberté pour Julian ASSANGE, embastillé et dont la vie est menacée par l’Axe USA - OTAN
/image%2F1449569%2F20240219%2Fob_4ebc16_assange-20fevrier2024.jpg)
/image%2F1449569%2F20240219%2Fob_dceb2a_initiative-communiste.jpg)
Il a dit la vérité. Il l’a publié. Avec Wikileaks, Julian Assange a notamment prouvé au monde les exactions et crimes de l’impérialisme américains et de ses vassaux. C’est l’unique raison pour laquelle l’Axe USA OTAN le fait pourrir, sur ordre de Washington, dans les culs de basse fosse de la prison de haute sécurité de Londres. Un viol absolu des plus élémentaires valeurs démocratiques, qui démontrent combien l’occident capitaliste n’en a que faire, même s’il s’en drape lorsqu’ils sagit pour lui de soutenir ses mouvements de séditions fascistes ou fondamentaliste. De Grozny à Raqqa, de Kiev à Moscou. Mais chaque homme et femme libre de ce monde ne peut pas ne pas être blessé et souffrir de chaque jour où Julian Assange est embastillé, menacé de mort. Car c’est alors la liberté de chacun qui est ciblée et chacun d’entre nous qui est frappé. La rédaction d’IC, avec les communistes du PRCF qui a organisé plusieurs manifestations pour la liberté d’Assange ces dernières années, appuie les appels à manifester le 20 février 2024 pour la libération de Julian Assange, pour protéger sa vie et sa santé.
Julian Assange : toutes et tous mobilisés !
Les 20 et 21 février prochain, le tribunal de Westminster, en Grande-Bretagne, se prononcera définitivement sur la demande d’extradition des États-Unis à l’encontre de Julian Assange.
C’est extrêmement grave.
Si le tribunal satisfait aux exigences des États-Unis, le journaliste le plus primé au monde pourrait être transféré, en attendant son procès, dans une prison de haute sécurité américaine en Virginie. Dans des conditions de détention susceptibles de mettre sa vie en danger, car sa santé physique et psychique est déjà très altérée, après cinq années dans la prison britannique de Belmarsh et sept ans passés à l’ambassade d’Équateur à Londres.
Les États-Unis poursuivent Julian Assange pour les documents diffusés en 2010 par sa maison d’édition WikiLeaks – totalement légale – révélant les crimes de guerre, les actes de torture, les assassinats commis par l’armée américaine en Irak.
POURSUIVRE LA LECTURE :