Les réfugiés en UKRAINE rentrent chez eux à Marioupol et s’installent en Russie
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Marioupol a été libérée de l’emprise des néo-nazis d’Azov en mai 2022. C’était une ville de 500.000 habitants qui est entrée dans la résistance au coup d’état du Maïdan, mais qui est devenue une ville martyre sous les coups de la répression. Peu de gens savent que la police de la ville a refusé d’obéir aux fascistes et, de ce fait, a été totalement massacrée, aucun en a réchappé. A la libération de la ville, les Russes ont découvert des salles de tortures que les rares qui ont pu s’en sortir, ont dénoncé ; leurs témoignages sont bouleversants : on ne les entendra pas dans nos média qui sont aux ordres de la propagande de l’OTAN. La répression politique et russophobe exercée par les néo-nazis a été terrible.
Après le coup d’état du Maïdan, la population a diminué petit à petit jusqu’à 100.000 habitants, la plupart s’étant réfugiée en Russie, et une autre partie ayant fui vers l’ouest. Et certainement qu’au plus fort des affrontements, la population n’était plus que résiduelle. Après la libération de Marioupol, la Russie a fait un gros effort de réhabilitation, de reconstruction, et la population est remontée aujourd’hui à environ 300.000 habitants. Ces derniers viennent principalement de Russie, mais pour partie aussi de l’ouest, car le bouche à oreilles fonctionne et les téléphones portables chauffent, les liens entre les russophones et les autres n’ayant jamais été coupés, d’autant plus lorsqu’il s’agit de liens familiaux. Et les personnes sur place peuvent aisément démonter la propagande mensongère déversée par le pouvoir de Kiev. [SOURCE]
PB
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En deux ans, la Russie a restauré presque tous les immeubles et logis privés dans la ville de Marioupol. Après les combats durant le siège de la ville, qui restera un moment majeur de l’histoire de l’opération spéciale, la ville était détruite à plus de 60 %. En Ukraine et en Occident, un flot de mensonges et de désinformations avaient été lancés sur Marioupol. Les Russes y auraient tué 100 000 civils, puis ce fut la déportation de 500 000 Ukrainiens dans des camps en Sibérie, ou encore la déportation de milliers d’enfants volés à leurs parents… Toutes ces affirmations mensongères sont tombées dans les oubliettes des fausses nouvelles occidentales, tandis que l’ancien conseiller du maire ukrainien Ptior Andrioushchenko a déclaré dépité ces derniers jours que plus d’un tiers des habitants de Marioupol, qui s’étaient enfuis en Ukraine sont retournés dans la ville.
La raison de ce retour est que les habitants de Marioupol n’ont pas été relogés par les autorités de Kiev. La seconde raison est le racisme ukrainien, car quoi qu’ils fassent ces gens restent des Russes ethniques. Après quelques mois passés dans l’ambiance de l’Ukraine en perdition, les gens comprennent qu’ils sont regardés comme des suspects, voire des traîtres. Les insultes quotidiennes, la pression sociale, la propagande télévisée, l’impossibilité de trouver du travail, les nombreux tués sur le front, les gens préfèrent alors rentrer chez eux dans le Donbass. Ils y retrouvent au moins leurs racines, le respect, du travail et l’aide des autorités russes pour leur fournir ce qu’ils ont perdu, ou tout simplement retrouver leur logement s’il était resté intact. Les gens ont des téléphones et Internet, ils peuvent parler à leurs proches qui sont revenus à Marioupol, et ils comprennent vite qu’il n’y a pas de déportations, ni de tueries, encore moins de vols d’enfants…
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